Un Noël particulier - Histoires de Sexe

Un Noël particulier

... Frédérique avait ramené la carte. J’avais envie d’une nouvelle coupe. Je pris rendez-vous sur une application bien connue dédiée à ce genre de commerce. Il y avait de la place l’après-midi même, chouette !

Après vingt minutes de voiture, j’arrivai devant le salonCoiffure Arwenna. J’entrai avec mon masque et fus reçue par une jeune femme brune aux yeux bleus et portant un masque noir ?

— Madame ? Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
— Une coupe et une couleur… Oui, sans doute… hésitai-je soudainement et bizarrement.
— Je crois savoir ce qu’il vous faut. Donnez-moi votre manteau et votre sac à main.

Elle m’installa au bac, puis le shampoing fait elle me dirigea vers le fauteuil de coiffure. Elle commença son ouvrage et je perdis peu à peu mon attention et la notion du temps. La voix de la coiffeuse me fit reprendre contact avec la réalité :

— Cela vous convient-il ?
— Oui très bien, merci. Cela me rajeunit.

Elle avait bien dégagé les oreilles, la nuque était dégradée et les cheveux coupés assez courts au-dessus, faisaient presque une brosse en arrière. Je payai au comptoir et elle me tendit mon manteau et ma pochette. Je pris congé et rentrais à la maison.

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Frédérique raconte :

Claude rentra en fin d’après-midi. La coiffeuse l’avait très bien coiffé.

— Super mon amour, lui dis-je, tu es très beau comme ça, très viril…
— Merci, Fred, je me sens un autre homme…

Nous passâmes une soirée très agréable, et nous eûmes envie de faire ...

... l’amour. J’avais mis des dessous sexy pour aguicher mon homme et je vis l’effet que je lui faisais à la taille de l’érection de sa bite quand il fut nu. Je ne résistai pas longtemps à la prendre en bouche. Je ne saurais dire pourquoi, mais lui faire cette fellation avait pour moi un air de nouveauté. Je pris grand plaisir à lécher ce membre masculin, à le sucer, à ce qu’il occupe ma bouche. Après quelques minutes d’exercice, Claude vint à jouir. Je le conservai en bouche et avalai son sperme sans me poser de question. Là aussi, le goût fut surprenant pour moi mais j’aimais, bien au final. Il s’occupa ensuite de ma chatte qu’il caressa, doigta copieusement, puis sa bouche vint boire à ma coupe et sa langue joua avec délectation avec mon bouton.

Après que j’eus joui sous ses caresses buccales, je vis avec plaisir que sa bite avait retrouvé une forme honorable susceptible de pénétrer ma grotte. Je le pressai de me prendre. J’étais sous lui, sa bite me pénétra rapidement en position de missionnaire tant ma chatte était mouillée d’excitation. De nouveau, j’eus cette impression étrange d’une première fois. Après qu’il se fut répandu en moi puis retiré, nous étions lovés l’un contre l’autre. Je pris alors la parole :

— C’est bizarre, mon amour, c’était comme si c’était la première fois…
— Pour moi aussi, même genre d’impression… Bizarre…
— Bizarre, vous avez dit bizarre, comme c’est étrange !

Nous nous endormîmes peu de temps après. Je pris le temps d’enlever mes dessous pour ...