Les petites stagiaires: Elodie II,7
Datte: 02/10/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Exorium, Source: Hds
... chemin.
On s’est enlacés. On a repris nos baisers. Je lui ai caressé les seins à travers le chemisier. Sous le chemisier. Sous le soutien-gorge. Je les lui ai sortis. Ils étaient tout menus, tout attendrissants, dans la lumière sautillante des lampadaires. J’en ai agacé la pointe du bout de la langue, l’ai enserrée entre mes dents. Elle a doucement gémi. Sa main a vagabondé sous ma chemise, est descendue. Descendue encore. S’est aventurée dans mon pantalon où elle a enrobé, s’est approprié. Son souffle s’est accéléré. Elle a gémi plus fort.
– Attends !
Et elle est allée me dénuder. Résolument. Jusqu’à mi-cuisses. Ses lèvres sur mes couilles. Sur ma bite. Sa langue en caresse soyeuse tout au bout.
– Tu aimes ?
Si j’aimais ! Ça me rendait fou, oui !
– Continue ! Oh, continue !
Ses fesses sont venues là, tout près, tête bêche, à portée de main. Je me suis insinué entre le tissu et la peau et je les ai pétries, malaxées. Elle, elle a englouti ma queue. L’a amoureusement dégustée, savante, si savante, tandis que j’arpentais le sillon entre elles. Plus bas. Encore plus bas. Jusqu’à… Hein ? Oui. C’était… Il y avait… Aucun doute là-dessus. Elle avait… une paire de couilles ! Une bonne paire. Bien dodue. Bien fournie. Et, forcément, dans leur prolongement, une bite. Tendue à l’extrême. Gorgée de sève. Une bite que j’ai apprise du bout des doigts. Une bite qui a palpité, qui a tressailli. Il-elle m’a sucé avec plus d’ardeur encore. Avec passion. M’a fait venir, ...
... m’a bu. Jusqu’au bout. Jusqu’à la dernière goutte. Et s’est déversé dans un grand râle.
Élodie avait suivi le déroulement des opérations dans le rétroviseur.
‒ J’allais quand même pas louper ça, attends ! Sauf que qu’est-ce que c’était frustrant finalement. Parce que toi, tu lui as giclé dans la bouche et elle, ça a été dans son pantalon que tu l’as fait jaillir. Tant et si bien que moi, j’ai rien vu du tout. Enfin, si ! J’ai vu plein de choses, mais pas ça. Qu’est pourtant ce que je préfère. Et de loin. Oh, mais ce n’est que partie remise ! Surtout maintenant que les choses sont claires. Bouge pas que vous allez m’en donner des compensations. Et pas qu’un peu ! Ce qui va pas te déranger, je suppose ? Ben, tiens ! Tu me dirais le contraire… C’est fou, hein, quand même ! Parce qu’au bout du compte t’as plein de nanas, elles sont à des années-lumière d’être aussi féminines que lui. Comment c’est troublant n’empêche quelqu’un qu’est tout à la fois comme ça. Homme et femme. Qu’a en même temps des seins et une queue. Comment j’aimerais ça, moi, sentir ce qu’elles sentent ! Pas toi ?
Amandine était déjà au courant.
« Et ça fait un moment. Depuis qu’Élodie a découvert le pot-aux-roses en fait. Elle n’a rien eu de plus pressé que de me mettre au parfum. Et je peux te dire que la situation la comblait d’aise. Surtout ces derniers temps. « Non, mais t’imagines ? Il se fait mater par un mec et il croit que c’est une nana ! Quand il va s’en apercevoir ! » Elle crevait ...