1. Fucking éoliennes


    Datte: 02/10/2023, Catégories: 2couples, grossexe, campagne, chantage, reconcil, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, vidéox, Oral pénétratio, coprolalie, échange, Humour voisins, Partouze / Groupe Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... toujours gaillard et Christine, nullement apaisée. L’ego du mâle fit un bond en l’air quand la maire l’implora de venir éteindre le feu en elle. L’autre, vicieusement, se fit prier, tapotant la vulve béante de son gland congestionné.
    
    — Tu la veux vraiment ? dit-il à une Christine fébrile, qui répondit :
    — Fais pas le con, mets-la-moi.Please.
    
    Et de presser les reins de l’Anglais avec ses talons. Sans succès.
    
    — Je te la mets si tu renonces aux éoliennes.
    — Salaud. Pervers.
    
    Jim introduisit le bout de son gland, s’immobilisa tandis que Christine ruait sous lui pour tenter une vraie pénétration. Mais il se retira à nouveau.
    
    — Bon, ça suffit, baise-la maintenant ! intervint Caroline, inquiète de la tournure des événements.
    
    Elle n’avait jamais vu son amie dans un tel état. Elle n’était plus qu’un sexe. Béant, avide, plaintif.
    
    — Un moratoire. Je veux un moratoire pour cesfucking éoliennes, dit l’Anglais.
    — Tu l’as. Devant témoins. Mais viens, j’en peux plus, gémit-elle.
    
    Quand il la pénétra, il se sentit comme aspiré tant elle était dans le besoin. Il creusa sans hâte, ignorant ses roulements de hanches impatients et ses « vas-y » répétés. Christine était une vraie bonne baiseuse au corps confortable et au verbe cru, c’était pour lui une heureuse découverte. Toujours nus, assis sur le lit, Caroline et Fabien observaient les ébats qu’ils avaient sollicités avec passion, tout près de remettre eux-mêmes le couvert. Ils se masturbaient mutuellement, guettant le ...
    ... moment où Jim accélérerait son rythme :
    
    —You love my cock, don’t you ? dit-il entre ses dents à Christine.
    —Yes I do, but fuck me hard and shut up.
    
    Le couple voyeur ne put s’empêcher de rire à cet échange éroticolinguistique.
    
    Et de fait, Jim prit les chevilles de Christine, les écarta et se mit à besogner dur. La pièce s’emplit des exclamations de femelle fouillée, ramonée, visitée au plus profond, tellement en attente de bite qu’elle en perdait toute retenue, son visage passant du rictus au sourire, sa voix des aigus au rauque, ses mots de la simple approbation à une vulgarité indigne de sa fonction.
    
    Le couple voyeur était tellement excité par la scène qu’il passa à nouveau à l’action. Fabien prit Caroline en levrette, ce qui leur permettait de ne rien perdre des ébats voisins tout en forniquant. Ils avaient beau connaître intimement les protagonistes, leur attitude sexuelle les fascinait. Comme s’ils n’étaient plus tout à fait eux-mêmes.
    
    Puis Jim prit à son tour Christine en levrette, si bien que les deux femmes se firent face de façon tellement proche qu’elles se titillèrent mutuellement la langue tout en évoquant leurs sensations.
    
    — Tu es bien baisée, hein ? dit Caroline à Christine.
    — Ah oui, je prends un pied pas possible, grâce à toi, coquine !
    — Tu la sens bien, sa grosse bite, hein ?
    — Oui, elle me remplit bien, et j’adore te regarder baiser, aussi.
    
    Et ainsi de suite.
    
    Elles chevauchèrent ensuite leur mâle côte à côte en se tenant la main, ...