1. Une voix trop désagréable


    Datte: 30/09/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... dans sa partie la plus cachée.
    
    Nous sommes épuisées par ces émotions étranges. Virginie et Camille prennent le grand lit, tandis que la première m'installe entre ses jambes sous les couvertures pour la lécher pendant son sommeil. Virginie est insatiable, c'est fou, alors que Camille n'a finalement joui qu'une seule fois. J'ai du mal à respirer, les bras et épaules douloureux, quand à mes seins je repose dessus, et pour la première fois, ils me provoquent une vraie excitation. Une excitation née de la douleur, mais une vraie excitation. Je ne cherche en rien à alléger mon poids dessus.
    
    Camille et Virginie s'embrassent et se câlinent. J'entends Virginie avouer qu'elle nous a toujours désirées toutes les deux, qu'elle n'a jamais voulu d'autres personnes. Que les mecs qu'elles voyaient étaient des fakes pour que nous ne nous doutions pas qu'elle était lesbienne et qu'elle avait envie de nous. A l'écouter, je me suis encore plus appliqué à la lécher, qu'elle sente que j'étais heureuse d'être là. Camille ne semblait pas en reste pour la rassurer. Elle l'embrasse, la caresse, puis Virginie la fait jouir doucement. Et apparemment, au moins cette nuit-là, notre hétérosexualité n'était pas si évidente.
    
    Pendant la nuit, Virginie me libère de mes liens et j'émerge de la couette pour m'installer entre elles deux. Je n'ai pas encore pu dormir!
    
    Le jour est déjà levé depuis longtemps et la journée de ski bien entamée. Nous nous retrouvons toutes les trois devant notre ...
    ... petit-déjeuner, ne sachant pas trop comment nous comporter. Je sens Virginie gênée de ses confidences, et Camille un peu inquiète de ma réaction. Et moi? Epuisée, heureuse et je regarde mes deux amies la tête dans leur bol de café. Je me lève et je viens d'abord vers Camille. Virginie nous regarde curieuse de ce qui va se passer. Je lui prends la tête, elle se laisse faire, et nous renouvelons un baiser d'abord réservé, mais qui finalement s'ouvre comme celui d'hier provoquant une excitation chez nous deux. Je lui chuchote juste un merci et lui dit que j'ai adoré hier soir. Je la sens se détendre, ses mains prendre possession de mon corps, presser mes fesses, toucher mon sexe mouillé au travers de mon shorty. Elle me dit que c'est sa plus belle soirée et qu'elle n'a jamais été aussi heureuse.
    
    Je vais alors vers Virginie, et son baiser est tout de suite accueillant et envahissant, je reprends mon souffle, la regarde dans les yeux, réitère mon remerciement, et sans que je ne l'ai ni prémédité, ni même pensé avant de le dire, je lui avoue mon amour. Ses pupilles se dilatent, ses yeux se remplissent de larmes et nous nous serrons dans un câlin sans fin dans lequel Camille vient prendre sa part.
    
    Inutile de dire que nous n'avons pas du tout skié cette semaine-là, passant notre temps dans le lit à faire l'amour, à découvrir l'ampleur de mon masochisme et de mon désir de soumission, à nous livrer aussi. C'est fou que parlant de tout, tout le temps depuis 20 ans, nous en soyons à ...
«1...3456»