La Belle et Les Clochards
Datte: 29/09/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... dut s'enhardir, et très lentement, comme pour ne pas me réveiller, fit remonter ses doigts vers ma poitrine.
J'étais sur le dos, immobile et crispée et un clochard me caressait.
Lorsqu'il me toucha le sein, j'étais au bord de la panique et étrangement cette situation commençait à m'exciter. Après tout, on faisait rien de mal.
Je me dis que si il pensait que j'étais endormie, il n'irait pas trop loin.
Je me mordis la lèvre lorsque doucement, il se mit à me masser le sein. Jamais je n'aurais pensé que je prendrais du plaisir de cette façon.
Pourtant, la peau de sa paume était vraiment rugueuse et malgré ça je trouvais cette palpation vraiment agréable.
Je me rappelais les mains sales et les ongles noirs des deux clochards et étrangement cela ne me dégoûtait pas.
Vu que c'était mon sein gauche qui était malaxé, je supposais que c'était rené qui s'occupait de moi vu qu'il était de ce coté. Lorsqu'il cessa de palper ma poitrine et que je sentis sa main descendre lentement sur mon ventre, je crus qu'il en avait fini.
Mais je me trompais.
Je tressaillis lorsque ses doigts s'insinuèrent lentement sous l'élastique de mon survêtement.
Là, une voix me disait que je ne pouvais pas le laisser faire, que je devais repousser cette main. Pourtant, je ne bougeais pas, continuant à rester inerte.
Je trouvais de plus en plus excitant le fait de le laisser me toucher en lui faisant croire que je dormais. Ses doigts continuèrent leur course avec une lenteur ...
... exacerbant mais il ne voulait pas me réveiller.
Lentement, il glissa sur mon pubis que je maintenais complètement épilé pour des raisons d'hygiène.
J'étais de plus en plus excitée malgré l'horreur de la situation. Cet homme ne s'était sûrement pas lavé les mains depuis des jours ou des semaines et je le laissais me toucher.
Je faillis gémir lorsque ces doigts boudinés vinrent effleurer les lèvres de mon sexe. Je me rendis compte que j'avais les cuisses légèrement écartées, ne protégeant pas l'entrée de ma chatte.
Si je resserrais les jambes maintenant, il saura immédiatement que je suis éveillée et je ne voulais pas le lui montrer.
Ses doigts commencèrent à faire des petites caresses en longeant mon sillon, mais sans chercher à me pénétrer. Il devait se dire qu'en s'enfonçant dans ma chair, il risquait de me réveiller.
Étrangement, avec l'excitation montante, j'aurais adoré qu'il introduise ses doigts en moi mais je devais rester muette. Il ne le faisait pas et pourtant j'étais de plus en plus émoustillée.
J'avoue que ces petits effleurements faisaient monter le plaisir en moi.
Il caressa mes lèvres en appuyant de plus en plus fort jusqu'à ce que c'est doigts glissent finalement dans ma fente. Cette fois je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri, dévoilant du coup le fait que je n'étais pas endormie.
- Henri, tu dors, demanda rené A voix haute
- Non, j'arrive pas
- La gamine non plus a priori
Je ne sus quoi répondre, surtout que René, sachant ...