Corfou – dimanche - Histoires de Sexe

Corfou – dimanche

... arrivée tout au fond, c’est avec une satisfaction évidente que Norbert recommence son lent pistonnage.

— J’adore aller tout au fond ! Puis de coulisser sur toute la profondeur !

Sentant bien sa verge coulisser dans mon tube intime, je soupire :

— C’est bon, Nono ! Tout le monde sait que t’es un gros vicieux !
— Et surtout un gros enculeur !
— J’en sais quelque chose… Oooh !

Bernard est admiratif :

— Pas mal, Norbert ! Toute la longueur y est passée, les doigts dans le nez, si je puis m’exprimer ainsi !
— Eh, Nadine est un peu rodée, maintenant.
— Tant mieux pour elle, surtout connaissant tes préférences…

Bernard soulève ma jambe, vient se plaquer face à moi, puis il s’introduit facilement dans ma chatte que je continue à branler malgré le peu d’espace disponible.

— Oooh oui ! Ouiii ! Hmmm !

Ce n’est pas la première fois que j’ai droit à deux hommes en moi. J’ai plusieurs fois fait des trios, des quatuors et j’en passe. Tandis qu’il se positionne au mieux, Bernard me demande :

— Et si tu disais quelques gros mots, ma poulette ?
— Quelle idée ! T’imites Norbert ?
— Perso, j’aime bien embrocher une poulette qui dit des gros mots.
— T’as des actions dans la rôtisserie ?
— Hahaha ! T’as de l’humour, toi !

Norbert intervient :

— Nadine se la joue parfois Femme du Monde, mais elle est capable de prononcer des mots comme « queue » ou « bite »… Comme ce matin, par exemple.
— Femme du Monde ou demi-mondaine ?

Je rétorque en souriant :

— ...

... Demi-mondaine, ben voyons ! Dans ce cas, je ferais le minimum syndical !
— C’est mieux que pute ou catin…

L’instant d’après, les deux hommes me pistonnent en parfaite synchronisation, tandis que je m’oublie petit à petit :

— Ah ! Aaah ! Bande de salauds !

Ce que je répète en boucle une dizaine de fois, si ce n’est pas une quinzaine. Amusés par mon minimum syndical, les hommes s’en donnent à cœur joie, à la fois dans les va-et-vient et dans les agaceries sur mes seins, mon cou, enveloppés de mes gros mots à répétition !

— Oh oui, ma belle salope, ça te plaît, non ?
— Oh quel salaud tu fais !
— Tu n’es pas heureuse d’être prise comme une belle pute que tu es ?

Je commence à voir des tas d’étoiles devant mes yeux :

— Oh… Aaah !
— Belle pute de luxe, tu ferais bander un mort !
— Salaud, salaud, salaud ! Na !
— Ton vocabulaire est limité, ma poulette !

Oui, mon vocabulaire est limité, j’ai dit que je faisais le minimum syndical, mais les mouvements que je fais pour que ces deux salauds soient encore plus en moi parlent d’eux-mêmes. Nos corps emmêlés, ces bites plantées en moi, nos sueurs mélangées me font décoller petit à petit.

J’explose une fois, deux fois, trois fois, je ne compte plus. Norbert est un petit vicieux et Bernard est loin d’être un saint. À eux deux, ils forment une belle équipe de jouisseurs patentés ! Tels des explorateurs infatigables, ils s’offrent la visite de toutes mes portes, sans oublier d’autres facéties. Vers la fin, je ne ...