Des avantages d'être servie
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
fépilée,
douche,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
intermast,
Oral
fdanus,
tutu,
lettre,
Lesbienne
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... rappelé à Magali que nous étions seules ? Et entre femmes, qui plus est. Vous ne voulez pas que je voie votre nudité comme vous avez reluqué la mienne ?
Ma voix se durcit à l’imitation de toi.
— Je crois que vous accumulez les mauvais points, ce soir !
— Je vous en prie, Madame, pardonnez-moi. Je vais faire comme vous demandez.
Ses yeux sont emplis de larmes, elle renifle de crainte et de désarroi. Mais elle dépose son plateau et se défait de sa robe.
Nue maintenant, elle esquisse un mouvement pour reprendre le plateau. Je l’arrête d’un geste :
— Pas tout de suite, Céline. Je tiens d’abord à vous regarder.
Interdite, mais disciplinée, Céline reste debout bras ballants. Je savoure l’instant. Magali a magistralement joué du mitigeur, la température du bain nous entoure d’une douce chaleur. Elle masse maintenant mes épaules, pressant délicatement ses pouces et ses doigts de ma nuque vers les omoplates, insistant sur les jointures des vertèbres, dénouant les contractures, apaisant la crispation des nerfs. C’est vraiment très relaxant, elle est douée ! Et le même soin qu’elle a pris d’abord de mes seins prouve un réel dévouement, voire une empathie sincère.
Je tourne la tête. Le visage de Magali est tout proche du mien. Mes lèvres effleurant les siennes, je lui murmure :
— Il serait bon de penser aussi à la toilette…
— Bien sûr, Madame, je suis là pour vous être agréable, répond-elle sans s’écarter.
Son haleine est chaude et légère. Le frôlement ...
... de sa bouche m’électrise. Est-ce pareil pour elle ?
Tandis que les mains de Magali descendent sur mon ventre, j’observe sans vergogne Céline. Hormis la coiffure, elle ressemble à moi jeune : blanche de peau, épaules rondes, corps légèrement grassouillet, grosses pommes pour les seins, larges aréoles claires, tétons courts invaginés (ah, voilà pourquoi invisibles sous la robe…). Voyons plus bas. La taille est peu marquée, les hanches sont larges et les cuisses un peu grasses, très jointes, font ressortir un pubis boudiné, et lisse. (Pari gagné !) La fente est à peine dessinée, une minette de gamine…
Je lui fais signe de se retourner. Le cul est à l’avenant du reste : des fesses assez molles et tombantes, le repli sur les cuisses bien marqué, le sillon culier très resserré. Quant aux mollets et aux chevilles… disons que la gamine est bien plantée !
— Vous pouvez reprendre votre plateau, Céline, dis-je enfin.
Elle me fait à nouveau face. Un pli amer marque sa bouche, les yeux sont tristes. Tiens, je n’avais pas remarqué le bleu des iris. Le nez n’est pas mal non plus, fin, gracieusement retroussé. Les joues un peu trop rondes gagneraient à être affinées par des cheveux plus longs. Sa coupe n’est pas la mieux choisie. Elle serait mignonne, pourtant, si elle souriait ! Sa désolation évidente me touche. Elle se penche pour reprendre sa pose éreintante. J’ai soudain l’envie de me montrer plus gentille.
— Vous allez vous fatiguer à rester courbée comme ça, Céline, ...