Une Proie Qui S'offre
Datte: 28/09/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... ton âge, je vais craquer et te dire que moi aussi j'ai envie de toi?
Je ne sais pas Monsieur. Je ne sais pas. Je suis désolée
Tu as un ami actuellement?
Non Monsieur
Tu vis avec tes parents encore?
Oh non, j'ai un petit studio pas loin.
Qu'est ce qu'ils penseraient que tu rêves d'un homme qui pourrait être ton père?
Oh Mon Dieu, cela ne les regarde pas, si?
Non sans doute, ni tes 8 frères et sœurs.
Non Monsieur
Elle tremblait, transpirait et ne parvenait pas à relever son regard. J'étais certain qu'elle aurait voulu disparaître dans un trou de souris, que cette conversation n'ai jamais eu lieu. Mais je me trompais peut-être. Sa timidité m'ennuyait, je n'avais plus l'âge pour trouver cela frais et attirant. Je laissais passer quelques minutes, pour voir comment elle se décomposait.
- Cela t'excite d'être comme cela devant moi, te mettre à nue?
- Je, je ne sais pas Monsieur.
- Eh bien vérifie?
- Pardon?
- Baisse ton pantalon, met ta main dans ta culotte et dis-moi si elle est trempée. Et tout de suite.
- Oh mon Dieu!
Je l'aurais fouettée, elle aurait réagi de même, bondissant de sa chaise, interloquée, bégayant, perdue. C'était tellement concret. Elle me regarda enfin, terrorisée par mon regard sévère, détourna les yeux et défit sa ceinture. Elle baissa son pantalon doucement, m'offrant ainsi une jolie vue sur son pull déformé par sa poitrine pendante. Fille de son époque quand même, dieu merci, elle était bien épilée, et ...
... descendit aussi sa culotte, dévoilant un sexe qui me plut terriblement. Je ne savais pas pourquoi, mais je le trouvais si sage, si peu développé. Ses hanches étaient large, son pubis rebondit et si lisse. Peut-être était-ce en pensant à ce moment qu'elle était allée se faire belle, toujours sous les conseils de sa meilleure amie qui l'avait jetée dans mes bras! Je marquais mon impatience, comme si ma demande était banale. Elle descendit une main timide, l'enfouit entre ses lèvres, la baissa un peu plus, le souffle court.
- Oui
- Oui quoi?
- Oui je suis mouillée
- Pardon, je n'ai rien entendu.
- Oui Monsieur, je suis mouillée et excitée (sa voix était un murmure malgré ma demande. Sa timidité ne résistait pas à son désir, c'était une évidence. Je me demandais en fait quel rôle jouait sa timidité, si ce n'était pas un masque pour pouvoir manipuler ses interlocuteurs. C'était peu banal de recevoir une déclaration d'une jeune femme de 20 ou 22 ans)
- Relève ton pull au-dessus de tes seins. Fais-les ou sortir de ton soutien-gorge, que je puisse les voir. Allez plus que cela.
J'étais ébahi qu'elle obéisse. Là encore j'avais hésité, et ma demande était ferme et sans concupiscence, comme pourrait le faire un médecin. Marie était gênée, mais pas plus qu'au début, peut-être même moins. Je soupçonnais qu'elle avait fantasmé cette scène plusieurs fois et m'utilisais dans ses désirs profonds. Ses seins étaient vraiment gros, un peu trop mous à mon goût, quoiqu'il faudrait ...