COLLECTION CANDAULISME. Ma Femme et mon patron (1/2)
Datte: 27/09/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Bonjour, il y a trois ans que je suis le plus heureux du monde.
Dans le même mois, en juin, j’ai rencontré Malika, mon épouse, je devais l’épouser un an après dans ce joli mois de juin.
Je venais de la rencontrer en sortant de mon école d’apprentissage alors que je savais que les places étaient rares en mécanique.
J’ai été embauché chez nounours un homme véritable force de la nature.
Nounours, c’est son surnom, il s’appelle Maxime.
Nounours est lui-même marié avec madame Cécile ma patronne qui tient la caisse et la facturation du plus gros garage Citroën de notre ville.
Nous avons aussi un secteur vieille voiture grâce au stock de pièce constitué par le père de Cécile ayant créé le garage depuis les années 50.
Nounours, lorsque j’ai un problème avec un boulon, prend deux clefs et alors que je m’escrime à le desserrer, il le serre jusqu’à ce qu’il se coupe en deux et saute.
Nounours a des mains comme des battoires, avec énormément de poils.
Nous avons un vestiaire avec douche que madame Cécile fait nettoyer tous les jours ou nous nous lavons après notre labeur surtout depuis le mois de mai ou la chaleur est étouffante.
À poil, lui, Alain le jeune en alternance lui aussi en école de mécanique et moi, c’est ainsi que nous nous décrassons.
Si nounours à du poil sur les mains, il en a partout, en grand nombre.
Sa poitrine, une vraie forêt vierge, ses épaules et jusque dans la raie de ses fesses sans compter ses jambes.
Madame Cécile est une ...
... jolie brune avec des seins qui vont bien avec les paluches de son mari.
Il est ours, elle reste très féminine pour sa quarantaine très avancée.
Madame Cécile semble s’habiller une, voire deux tailles en dessous de sa taille réelle et ressemble à une jeune fille ayant grandi trop vite.
C’est bandant, mais j’aime Malika qui me satisfait pleinement.
Ce qu’il m’a plu quand je l’ai rencontré, c’est qu’elle ressemblait à ces poupées qui marchent.
Je faisais mes dix mille mètres du dimanche matin et j’allais rentrer chez moi dans mon appartement que j’avais trouvé non loin du garage.
J’avais pu louer grâce à mon premier salaire et ainsi payer la caution.
Encore un point positif de ce joli mois de juin il y a trois ans.
Malika sortait de l’église avec ses parents et je l’ai percuté par manque de chance.
Je peux dire que je suis tombé directement amoureux de ce petit bouchon.
Sans savoir qui elle était, la semaine suivante, je me suis posté sur un banc devant l’église à l’ombre des arbres.
Les dimanches après-midi, ça aurait été impossible, car les joueurs de pétanque du village jouent là et des vieux sont assis sur ces bancs.
Je la vois donc sortir et comme un promeneur du dimanche, je les suis.
Par chance, c’est à pied qu’il rentre chez eux et que je peux la croiser plusieurs jours sans aucune fois l’aborder.
Donc en ce mois de juin, mon mois fétiche, je suis derrière elle et elle va pour traverser quand une voiture surgie.
Je la retiens, ...