Ma femme et " son guérisseur " (4)
Datte: 04/07/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... …super bonne idée !
— OK, Didier , mais je te rappelle que nos télé- pros n’y ont pas accès, tu crois que le big boss accepterait ?
— Si je le lui demande moi même, oui, n’oublie pas que je fais partie du trio historique de création de la boite, il ne me refuse jamais rien…
Alors Cécile à Tahiti, quelque bonnes baignades, la teuf, quelques verres bien tassés et ta petite chérie te fait la "brouette tonkinoise" !
Putain j’espère que t’as la forme parce que ça va être chaud pour vous 2, madame aura à rattraper un mois d’abstinence, veinard ! »
Je remerciai chaleureusement les deux hommes et courrai prendre la voiture pour annoncer la bonne nouvelle à ma femme.
Celle-ci, se reposant dans le canapé, ne daigna pas lever la tête quand je lui dis bonjour, mais lorsque j’annonçai la bonne nouvelle, elle me tomba dans les bras et nous nous embrassâmes avec fougue.
Le soir, un diner un peu arrosé, Cécile réussit même à boire tout le vin blanc doux que je lui versai dans son verre, alors que d’habitude elle ne touchait pas un verre d’alcool !
Je me préparai à vivre une soirée érotique de retrouvailles au lit après presque un mois d’abstinence forcée…malheureusement elle avait dépassé la dose et s’endormit immédiatement dans le lit.
Bon, je me disais que le lendemain ça allait être la fête avant de partir au boulot.
Mais là encore je fus déçu…ma chère et tendre se plaignait d’un mal de tête et d’une gueule de bois carabinée.
Je partis donc, la tête ...
... pleine de désillusions.
Le soir, j’eus droit à une scène : Cécile se plaignit que je l’avais fait boire pour la forcer « à faire des choses » et qu’elle avait été malade comme un chien toute la journée à cause de moi.
Les jours suivant jusqu’au départ pour le séminaire, la défiance était revenue, elle me parlait peu et refusait tout contact d’ordre sexuel.
Elle n’allait plus voir son guérisseur que 2 fois par semaines, je n’osai plus regarder ce qu’elle cachait sous son sempiternel pardessus…
J’avais à la fois peur de ce que j’allais découvrir, de toute façon elle ne se laissait plus approcher, et le subterfuge du reflet du miroir du salon avait été découvert.
Dorénavant la porte de la salle de bain était toujours rigoureusement fermée…à clef !
Deux jours avant le départ, mon dernier briefing se passa mal, je n’avais pas progressé dans mes ventes et Jean-Louis me signifia que dans ses conditions il ne pouvait m’octroyer ma place de séminaire, pour un travail qui laissait a désirer, alors que Thomas, le petit nouveau bellâtre qui venait de rentrer dans la société, avait déjà fait une vente en 2 semaines à peine…
Ce fut donc lui qui partit à ma place.
Le mercredi suivant ce fut le cœur gros que j’amenai ma femme au siège, pour qu’elle embarque avec les agents-co et tout le staff du siège dans les navettes qui devaient les conduire à Roissy.
Pour le coup Cécile avait revêtu une petite jupe blanche assez courte et moulante, ainsi qu’un chemisier noir ...