Autres voies - Histoires de Sexe

Autres voies

... n’existe pas. Honnêtement, si je t’avais rencontrée à la place de Marjolaine, je pense que nous serions toujours en couple.

Monique affiche un petit sourire vicieux :

— Et tu m’aurais trompée avec une Marjo-bis !
— Avec les mêmes dispositions que tu as actuellement avec moi ? Pas du tout ! Pourquoi aller chercher ailleurs quand on est déjà comblé ?
— Pourtant, les hommes papillonnent…

Saisissant ses seins qui s’agitent toujours sous mon nez, je rectifie :

— Pas tous, pas tous…
— Jacques a papillonné…
— Tu as déjà évoqué le cas, mais tu m’as aussi dit que tu n’en étais pas certaine à cent pour cent…
— Bah, s’il m’a effectivement trompé dans le temps, ça fait match nul, puisque je suis ta maîtresse.

Je recentre le débat ou plutôt nos ébats :

— Justement, sois avec moi, sois à moi et profite de moi, ma jolie !

Puis remuant du bassin, je fais tressaillir ma maîtresse qui s’en donne ensuite à cœur joie. Peu après, bien empalée sur ma colonne de chair, elle commence à gémir puis à jouir. La voyant décoller pour le septième ciel, c’est à ce moment que je décide d’ouvrir grandes les écluses.

— Aaargh ! Aaah !

De multiples jets se perdent dans les profondeurs de la grotte dans laquelle je suis planté. Comme d’habitude, j’inonde l’antre de Monique, à tel point que ça déborde une fois de plus, et qu’elle et moi nous sommes souillés. Elle râle un peu comme souvent :

— Pfff ! Tu balances trop de sperme ! Je devrais faire comme toi, me raser le minou ! ...

... Mais comment justifier un truc pareil auprès de mon mari, surtout que lui et moi, on ne baise plus, mis à part quelques câlins ?
— La mode, par exemple ?
— J’ai jamais suivi la mode… C’est un peu tard pour commencer maintenant…

Je fais une autre suggestion :

— Les maillots de bain ?
— Quand c’est la saison, j’élague un peu, en effet, mais de là à tout faire sauter…
— Bah, on trouvera bien un moyen de justifier ton épilation…
— Parce que tu veux que je fasse sauter mon buisson ?
— Juste une fois, pour voir ce que ça donne…

Elle se redresse :

— Si tu me trouves un bon prétexte, pourquoi pas. Bon, je vais me retirer et te refiler tout ce que tu m’as donné !
— Ce fut donné de bon cœur, tu sais…

Chose dite, chose faite, elle se relève lentement, laissant sur ma verge et mon pubis une bonne partie de mon éjaculation. Cependant, pour moi, ce sera vite nettoyé, contrairement à ce qui reste englué dans les boucles de sa touffe…

Quand je jute dans son beau cul, le problème se pose moins. Monique l’a elle-même constaté, mais si elle ne déteste pas que j’aille me perdre dans son fondement, elle préfère quand je varie les plaisirs sur son corps et dans son corps.

Allongée sur le ventre, les fesses à l’air, Monique récupère de sa jouissance. Je fais la même chose de mon côté, avachi sur les oreillers. Soudain, sa voix fend le silence :

— Y a pas à dire, mais dès qu’on peut se voir, on baise comme des lapins !
— Tu trouves que je vais trop vite ?
— Non, non, ...