1. Autres voies


    Datte: 25/09/2023, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, caresses, Oral préservati, fsodo, extraconj, voisins, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... complètement rouge, zébré de marques. Ah oui, elle avait aussi des anneaux dans les tétons et elle aimait qu’on tire dessus. Idem pour les anneaux qu’elle avait à la chatte.
    — À la chatte ?
    — Oui, cinq anneaux, si je me souviens bien : deux sur chaque lèvre et un dans le capuchon.
    
    Monique grimace :
    
    — Outch ! Des anneaux à la chatte, ça doit être quelque chose à voir au moins une fois dans sa vie, mais de là à faire la même chose.
    — T’as jamais vu de piercing intime ?
    — Et j’en aurais vu quand ? Tu es le seul autre homme avec qui je couche depuis que je suis avec Jacques.
    
    C’est vrai que Monique a eu une vie moins agitée, sauf avec ses enfants qui étaient assez turbulents. Bien que je me doute un tantinet de la réponse, je demande néanmoins :
    
    — Et avant ?
    — Bof, pas grand-chose non plus. Du classique de chez classique… Et toi, t’as rien d’autre d’amusant à me raconter ?
    — Désolé, mon libertinage était très épisodique, celui de Marjolaine aussi, et comme tu dis : classique de chez classique.
    
    Monique affiche un sourire moqueur :
    
    — Bref, tu baisais classiquement des autres femmes classiques…
    — C’est un bon résumé.
    — Et moi, je suis classique ?
    — Toi, tu es à part, tu es ma maîtresse.
    
    Elle s’étonne de ma réponse :
    
    — Et les autres, c’était quoi alors ?
    — Tu es ma maîtresse à moi. Toi, je te désire tout le temps, j’ai toujours envie de te faire l’amour, de te toucher, de te câliner, de te faire des tas de cochonneries !
    — Oh, quelle déclaration ...
    ... !
    
    La fièvre s’empare à nouveau de moi.
    
    J’ai une envie folle d’elle, de son corps, de toucher sa peau, de palper ses chairs sans toutefois la pénétrer. Ôtant tous mes vêtements, je me rue sur Monique, je la déshabille en un temps record, ce qui est d’autant plus facile qu’elle était en short et T-shirt.
    
    Elle proteste d’une voix étouffée :
    
    — Mais c’est carrément du viol, ça ! N’oublie pas qu’on est dehors !
    — Personne ne nous verra…
    
    Debout, plaqué contre le dos de Monique, tous les deux face au soleil, ma verge bien raide coincée entre ses fesses douces et dodues, mes mains affamées rivées sur ses seins malléables, mes lèvres voraces nichées dans son cou, je ne suis pas loin du septième ciel, sans avoir toutefois éjaculé…
    
    Je soupire d’aise :
    
    — Ah que c’est bon d’être comme ça !
    
    Se laissant peloter, embrasser, désirer, Monique susurre, tout en ondulant :
    
    — Moi aussi, j’aime bien ce genre de câlin…
    
    Puis elle ajoute d’une voix plus feutrée :
    
    — Même si tu as oublié de me demander la permission, gros voyou !
    — Pourquoi perdre du temps à te demander la permission puisque tu seras d’accord ?
    — On appelle ça la galanterie, mon cher monsieur !
    
    Je suis dans un état suspendu, sans être vraiment le feu, sans être vraiment l’eau. C’est l’image qui me vient à l’esprit pour décrire ce que je ressens…
    
    Ah ce corps si charnel, si offert, si doux ! C’est pire qu’une drogue, je n’arrive pas à m’en passer, je n’arrive pas à ne pas penser faire l’amour à cette ...
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