1. Les punitions d'Olga T. (6)


    Datte: 25/09/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    Il devait lui être revenu aux oreilles, à Harold, son petit extra avec Paolo dans les toilettes. Forcément. Parce qu’il s’en parlait. Il y avait des allusions à peine voilées sur son passage. Des sourires entendus. Des propositions on ne peut plus directes. « Si t’es encore en manque, fais-moi signe ! Hésite pas ! Je sais être de bon service quand il faut… » Et pourtant, non ! Tout se passait comme s’il n’était, lui, au courant de rien. Ce qui était impossible. Complètement impossible. D’autant qu’il ne pouvait pas ne pas être à l’affût de tout ce qui la concernait. Alors à quoi il jouait ? Qu’est-ce qu’il avait comme idée derrière la tête ? Il attendait quoi ? Qu’elle s’enferre un peu plus encore ? Qu’elle en rajoute une couche ? Oh, si c’était que ça, elle pouvait faire, hein ! Elle savait faire.
    
    Et elle a fait. Le surlendemain. Alors qu’il venait de lui octroyer l’aumône, en la croisant, d’un rapide bonjour distant, presque indifférent. Elle a fait. Il y avait trois types dehors dans la cour, un Danois, Sœren, et deux Français, Marc et Patrice, qui jetaient des coups d’œil appuyés dans sa direction. Elle est allée vers eux. Ils l’ont regardée approcher en souriant.
    
    ‒ On parlait de toi justement.
    
    ‒ En bien, j’espère…
    
    ‒ En fait ce qu’on se demandait, c’est, si tu devais choisir l’un d’entre nous, lequel ce serait.
    
    ‒ Choisir ? Pour ?
    
    ‒ Une petite chevauchée.
    
    ‒ Oh, ben, le mieux monté. Forcément ! Lequel c’est ?
    
    Ils se sont regardés les uns les ...
    ... autres.
    
    ‒ Ben…
    
    Elle a enfoncé le clou.
    
    ‒ Faudrait que vous me fassiez voir…
    
    ‒ Ici !
    
    ‒ Évidemment, ici ! Ça vous pose problème ?
    
    Ils ont jeté de petits coups d’œil inquiets tout autour d’eux.
    
    ‒ Vous êtes pas joueurs, les garçons ! Vraiment pas. C’est décevant. Très. Bon, mais allez ! Assez perdu de temps ! Toi !
    
    Patrice.
    
    ‒ Moi ?
    
    Avec un sourire ravi.
    
    ‒ Ben oui, toi ! T’as un joli petit minois. Avec un peu de chance, le reste sera à l’avenant. Allez, amène-toi !
    
    Et ils se sont engouffrés tous les deux dans l’une des petites salles du bas.
    
    Elle n’a pas perdu de temps. Elle lui a littéralement sauté à la braguette. Elle a palpé, fouillé, dévoilé. Fait bander. Décalotté.
    
    Et est allée se pencher, à l’équerre, sur la table la plus proche.
    
    ‒ Mets-la-moi !
    
    Il a ri.
    
    ‒ Ah, ça urge, hein !
    
    Elle a supplié.
    
    ‒ Discute pas ! Fonce ! Enfonce !
    
    Mais il a pris son temps. Tout son temps. Pour lui relever la robe bien au-dessus des reins. Pour la déculotter. Pour lui palper longuement les fesses.
    
    ‒ Allez ! Fais pas chier ! Vas-y !
    
    Mais il n’a pas voulu. Pas tout de suite.
    
    ‒ Non. C’est trop génial à contempler, un cul de petite femelle en rut. Un plaisir de fin gourmet. Alors je savoure.
    
    ‒ Salaud ! T’es rien qu’un salaud !
    
    ‒ Remue-la bien, ta croupe ! Ondule-la bien ! Oui, comme ça ! Comment elle l’implore, la queue, cette petite chatte en chaleur ! Un vrai bonheur.
    
    Il s’est attardé à la regarder. Un temps infini.
    
    ‒ Mais ...
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