La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1660)
Datte: 23/09/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Walter me met la laisse et me sort par le côté arrière du Château dans une sorte de petit parc, délimité par de hautes haies de thuyas parfaitement taillées, où se trouve déjà quelques soumises et soumis. Monsieur Walter me fait venir prêt d'un tronc d’arbre où un épais paillage circulaire entoure la base du tronc.
- Aller salope, fait ce que t'a à faire et vite sinon tu attendras ce soir.
Je ne comprends pas, je regarde autour de moi et je vois une soumise en train de faire ses besoins contre un autre arbre... Je ne peux pas faire ça comme ça, ce n’est pas possible ! Un coup de cravache me surprend.
- Va y salope.... Dépêche ! Considère ce paillage comme ta litière pour chien, espèce de bâtard…
Honteux... Je pisse comme un chien et ne pouvant me retenir je défèque par terre comme un animal... Quel changement, que suis-je devenu ? … Toujours en position quadrupède, je m'en suis mis sur les cuisses, les jambes, je suis vraiment puant et sale. Le Majordome me tire par la laisse et me fait entrer dans une vaste salle de bain entièrement carrelée, genre grande pièce d’eau des anciens pensionnats avec toute une suite de lavabos d’un côté et des douches communes sans cloisons de l’autre. Il prend un tuyau d’arrosage et son jet d’eau froide m'asperge le corps et le cul souillés afin de me nettoyer en me traitant de tous les noms. Il m'attache ensuite dehors à un piquet pour me laisser sécher alors que je frissonne de spasmes à cause de la fraicheur de la nuit, car c'est ...
... peut-être le printemps mais je tremble quand même de froid... Ensuite, je suis ramené dans mon cachot où péniblement je trouve enfin le sommeil à même le sol, sur la paille… Le matin arrive, les rayons du soleil traversent le soupirail et apporte un minimum de clarté dans ma cellule, il n'est que 7h du matin ! Je n’ai plus de montre, celle-ci m’a été confisquée, comme toutes mes affaires, ma voiture ou même mon téléphone portable qui aurait pu m’indiquer l’heure… Mais je sais l’heure car j’entends l’horloge du clocher de la chapelle du Château qui sonne sept coups. Je reste là plus d'une heure à quatre pattes, jusqu’à que j’entende les huit coups sonner… J'ai faim, j’ai soif et j'ai froid… Le voilà enfin qui revient. Il me détache et me tire sans ménagement jusqu'à la cuisine sans un mot, juste quelques coups appuyés de cravache sur mon cul pour e faire avancer, comme une bête de somme. Là une gamelle remplie de cette bouillie infecte d’hier soir m'attend... Non je ne peux pas, j'ai tellement envie de boire un bon café avec des croissants... D’ailleurs, c'est ce que mangent Monsieur Walter et Madame Marie. Mais ai-je d'autres choix que de me pencher et manger les croquettes comme le chien que je suis devenu…
- Viens ici, sale bâtard.
Je laisse ma gamelle, m'approche et vois Monsieur Walter assis, son sexe tendu.
- Fait ce que pourquoi tu vis
Je comprends aussitôt et mains dans le dos à peine à 7h30 du matin, je prends en bouche la grosse bite de Monsieur Walter. ...