1. Impromptu niçois


    Datte: 23/09/2023, Catégories: fff, jeunes, inconnu, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation rasage, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... qu’elle comprenne que ça n’avait aucune importance, avant de l’avertir que j’allais couvrir tout son pubis de mousse à raser.
    
    Elle m’a laissé faire, heureuse que la couche blanche dissimule son intimité. Ce qui ne pouvait pas durer, évidemment. Elle s’en est vite rendu compte quand j’ai pris le rasoir en lui chuchotant : « je serai obligée de te toucher, pour tendre la peau, tu veux bien ? » J’ai eu droit au même timide acquiescement muet dont je l’ai remercié en lui exprimant ma reconnaissance pour la confiance qu’elle m’accordait. Le mot l’a étonnée. Elle ne s’y attendait pas et s’est détendue. J’ai pu jouer du rasoir et des doigts sans l’offusquer.
    
    Il m’a quand même fallu refaire un passage. « Tu avais trop de poils, tu comprends ? » m’en suis-je excusé. Cette fois, c’est un petit « oui, Madame » qui m’a répondu. Je lui ai demandé comment elle appelait sa professeure de danse, et c’est par son prénom, bien sûr. Quand j’ai suggéré qu’elle pouvait faire de même avec moi, me dire simplement « Chantal » par exemple, son visage s’est éclairé, et elle a ajouté « moi, c’est Marie ». Je commençais à l’apprivoiser. Les prénoms, ça rapproche, que veux-tu !(Remarque, j’étais contente moi aussi, cet échange de petits noms me faisait paraître moins vieille.)
    
    Notre conversation à voix basse et ce début de complicité lui avaient changé les idées en dissipant ses scrupules de pudeur. Elle ne se préoccupait plus de ce que le rasoir me dévoilait d’elle, passe après passe. Les poils ...
    ... disparaissaient peu à peu et la mousse aussi par conséquent. Ses lèvres apparaissaient dans leur nudité nouvelle, la peau toute rose et frissonnante d’émotion. Chaque fois que je devais la tendre pour ne pas risquer une coupure, je sentais battre les veines sous la pression de mes doigts.
    
    Inévitablement, mes gestes, pour aussi discrets qu’ils puissent être, étiraient parfois la fente d’un côté ou de l’autre. Au début, Marie, puisque Marie il y avait, réagissait par une vive crispation en prenant conscience de l’exposition de ses nymphes. Je m’abstenais alors de la regarder, me concentrant sur ma tâche, et sur le mignon tableau offert à ma vue. Pendant le contre rasage, ce furent plutôt des soupirs de moins en moins discrets qui m’avertissaient de sa réaction. J’ai fini par relever la tête, pour rencontrer des yeux fixés sur mes mains et brillants d’une lueur où la pudeur m’a semblé secondaire.
    
    Pour terminer, j’ai rincé soigneusement tout son pubis devenu impeccablement glabre. Bien sûr, pour que l’eau enlève partout les restes de mousse, je n’ai pu faire autrement que de passer la main dans les aines, au bord des lèvres, sur les lèvres elles-mêmes, le mont de Vénus et – comment l’éviter – le clitoris. Mon « excuse-moi, Marie » ne l’a pas empêchée de se raidir quand, uniquement par acquit de conscience, tu t’en doutes, j’ai écarté sa chatoune au cas où un résidu de crème à raser s’y cacherait.
    
    Il n’y en avait pas – preuve de ma précise efficacité(autant s’envoyer des ...
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