Covoiturage à trois
Datte: 22/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
candaul,
voiture,
autostop,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
Auteur: The Lounge Lizard, Source: Revebebe
... mon bébé, crie fort, mon amour. Tu es si belle comme ça, comme je t’aime, ma chérie. Jouis mon amour, jouis pour moi.
Assez vite, comme mes coups de reins puissants lui enfilent mon sexe bandé tout au fond du sien, et que je maintiens fermement ses hanches dans mes mains pour être sûr de la remplir complètement,Elle gémit,Elle crie,Elle en demande encore,Elle dit qu’elle aime et qu’Elle veut que je la baise plus fort, plus fort, oh oui plus fort, jusqu’à ce qu’un long gémissement rauque s’échappe de sa bouche, qu’elle se fige brusquement, que son con se rétracte sur ma queue…
— Tu jouis mon amour ?
— Oh oui, je jouis, oui il m’a fait jouir, le salaud.
— Petite cochonne… tu as pissé devant lui et maintenant il te fait jouir, c’est ça que tu voulais ?
Moi je coulisse encore dans sa chatte chaude, dégoulinante, j’en veux encore… je la laisse reprendre son souffle tandis que je reprends mon rythme, et de nouveauElle se met à gémir.
— Oh, il me baise encore, lui dit-Elle, oh oui il me baise encore, mon amour, il va encore me faire jouir…
Mes mouvements s’accélèrent, je sens que je viens. Je la brutalise presque, son frêle petit cul entre mes mains, sa position obscène sur le montant de la portière, je vois sa bouche ouverte, vos langues se cherchent, mais les ...
... mouvements qu’Elle prend par derrière vous empêchent de lui attraper la bouche, quand soudain… je décharge. J’ai l’impression de lui briser les reins tellement je la tiens fort, jamais je n’ai senti un petit con aussi serré contre mon vit. Un instant l’idée saugrenue que mon éjaculation doit être si forte que le préservatif ne résistera pas… Elle halète de plaisir… je me retire… Elle se retourne, chancelante, comme ivre, et immédiatement s’accroupit devant moi, touche mon sexe, le caresse, retire le préservatif, et me suce et me lèche, délicatement…
— Voilà, ma chérie, nettoie le bien, comme il a fait avec toi, lèche le bien, tu aimes ça, hein, sucer des queues, hein ma chérie ?
Elle ne dit rien et m’aspire délicatement, la sensation est divine, je soupire profondément. Elle se relève, je l’enlace, elle m’embrasse, le goût de mon sperme dans sa bouche m’électrise. On remonte dans la voiture, elle s’assied à nouveau sur la banquette, les cuisses écartées, et comme je regarde dans le rétro, je vois son sexe béant, entre ses jambes tout ouvertes.
— Tiens, ta culotte, lui dis-je en lui rendant le morceau de tissu trempé qu’elle m’a donné.
— Oh, j’ai encore chaud, je ne vais pas la remettre, je crois.
Nous repartons et nous allons chez moi. La copine d’Auxerre attendra.