Initiation propitiation - Histoires de Sexe

Initiation propitiation

... qu’elle n’a rien entendu de notre dialogue murmuré.

Les premières paroles d’Aurélie sont assez surprenantes :

— Ah ben merde alors !

Assez intrigué, je demande aussitôt :

— Pour quelle raison ?
— Je suis étonnée que ça se passe si bien ! Je me faisais tout un cirque, mais finalement, c’est beaucoup plus facile que je ne l’aurais cru.
— J’espère que ça te plaît, Aurélie…
— Ah ça oui ! C’est même pas la peine de me poser la question, tellement que c’est évident !

Ça, j’avais cru comprendre et le mari aussi.

Tandis qu’elle est toujours allongée, je me glisse à côté d’elle, faisant passer ma main sous son pull pour venir capturer un sein entre mes doigts et bien en sentir le moelleux. Je m’amuse ainsi un certain temps avec le beau lolo, avant d’aller m’attaquer au téton. Quand je l’ai entre mes doigts, je réalise pleinement à quel point il est hors norme ! J’en profite pour jouer avec.

Aurélie me propose :

— Je peux enlever mon pull, ça sera plus simple !
— Surtout pas !
— T’es fétichiste des pulls ?

Je réponds franchement :

— Pas spécialement, mais j’aime bien ta tenue : pull plus bas. Ça donne !
— Oui, ça donne que je ressemble à une pute, et ça, les hommes, ils aiment bien.
— Certains hommes préfèrent les habits de nonne ou d’écolière…
— Mouais… Faut de tout pour faire un monde !
— En parlant de ça, tu peux te mettre sur le côté, le cul en buse ?

Elle s’alarme :

— Eh !? Tu veux faire quoi ?
— La position des petites cuillères, ...

... tu connais ?
— Ah OK… je pensais que t’avais autre chose en tête.
— Chaque chose en son temps.

Elle plisse des yeux en me dévisageant :

— Ho-ho, t’as pas dit non !
— Tu connais beaucoup d’hommes qui n’aiment pas sodomiser une femme ?
— Eh ben si ! Y en a ! Surtout les maniaques de la propreté !
— Où y a trop de propreté, y a pas de plaisir !

Comme proposé, je me coule contre le dos et les fesses de ma partenaire, mon sexe à nouveau dans le sien, une main sous son pull, l’autre par-dessus. Délicatement, je la pistonne, puis j’augmente petit à petit la fréquence, tout en n’oubliant pas de m’occuper comme il se doit de sa poitrine.

Je murmure à son oreille :

— Tu aimes ?
— Hmmm, c’est plaisant…

Puis elle ajoute tout bas :

— Surtout quand c’est une nouvelle bite !

Sous mon invasion, elle mouille beaucoup, poussant plein de gémissements de plaisir sous les yeux de son mari qui l’encourage carrément, smartphone en main pour immortaliser ce moment. Je lui glisse quelques mots crus dans le creux de l’oreille, tout en l’embrassant dans le cou et la nuque, ce qui la fait frissonner.

À nouveau, elle ajoute tout bas :

— Comme ça, je suis ta p’tite salope ?
— Si tu n’aimes pas, dis-le.
— J’aime la façon dont tu le dis…

Encouragé de la sorte, je ne prive pas d’ajouter ensuite quelques épithètes supplémentaires bien senties. C’est tout juste si elle ne ronronne pas quand je les lui glisse à l’oreille ! Il ne lui faut pas très longtemps pour jouir à ...