Initiation propitiation - Histoires de Sexe

Initiation propitiation

... Putain que ça fait du bien, aussi bien quand elle rentre que quand elle sort ! T’as une bite magique ou quoi ?

Je me mets à rire :

— C’est surtout l’attrait de la nouveauté, d’une tonne de lubrifiant et du fait que je suis exactement dans l’axe.
— Exactement dans l’axe ? C’est-à-dire ?
— Pour parler scientifiquement, le rectum n’est pas rectiligne et il est positionné selon un certain angle. À prime vue, je suis positionné dans le même angle, avec la bonne courbe.
— Comment tu sais ça ? Ah oui, je suis conne, Monsieur a de l’expérience en la matière. En tout cas, continue comme ça ! J’aurais jamais cru qu’une bite dans le cul soit si bonne ! Hmmm !
— On en apprend tous les jours.

Un peu plus tard, je décide de changer un peu la position. Après m’être retiré en douceur, j’enlève mon préservatif, car vu son état, il faut que j’en change. Une fois le nouveau en place et lubrifié, je m’allonge sur le dos, ma verge encapuchonnée bien pointée vers le plafond. Aussitôt, avide, Aurélie se précipite au-dessus de moi, pour remettre illico ma colonne dans son petit trou, alors que je n’ai rien précisé !

— Eh bé, t’y prends goût !
— C’est trop bon de se faire enculer ! Surtout sur ta bonne bite !
— Là, tu vas vexer ton mari…

Ma verge vient de disparaître à moitié en elle.

— Compare ta bite à la sienne, c’est pas le même modèle. La queue de mon mari est géniale pour remplir ma chatte, mais elle ne convient pas pour passer dans mon cul, voilà tout. C’est juste ...

... une question de bon outillage.
— On va le dire comme ça…

Elle se laisse choir un peu plus :

— C’est dingue ! Ça rentre tout seul !

Tout en se masturbant, elle me chevauche durant de longues minutes, s’octroyant beaucoup de plaisir anal, sa grande découverte de la soirée, avec le fait qu’elle a su devenir libertine et s’offrir à un autre homme que son mari, ce qui est une étape importante. Durant cette cavalcade, j’en profite pour toucher, palper, tripatouiller tout ce qu’elle met éhontément sous mon nez, c’est-à-dire ses seins qui oscillent sous le pull, sa chatte restée béante, etc.

Un peu plus tard, après deux autres jouissances, Aurélie se retire, assez épuisée pour toutes ces activités finalement très sportives, c’est alors que j’ai une idée saugrenue tandis qu’elle se relève lentement, le cul en feu :

— Mets-toi à quatre pattes, Aurélie !
— Euh… comme ça ?
— Très bien ! Maxime, filme donc son trou du cul !

Le mari s’exécute aussitôt :

— Ah oui ! Putain, c’est quelque chose !

Aurélie s’alarme :

— Ça veut dire quoi ? Il ne va plus se refermer, c’est ça ?
— T’inquiète ! Il est déjà en train de se refermer ! Waaa, c’est géant !
— Vous les mecs, vous êtes un peu tarés sur le bord ! Contempler un trou du cul, quelle idée !

Mais elle se laisse filmer, chose sans doute impensable encore hier, voire ce matin. Un peu fatigué, je sens confusément que la séance touche à sa fin. Je cherche fébrilement une façon amusante de clôturer notre triple ...