1. Au poil ! , deuxième partie


    Datte: 19/09/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Rouge, Source: Hds

    Hélène : Au poil, deuxième partie
    
    Vendredi soir suivant, j’ai presque oublié cette histoire. Je me suis mise au lit, en déshabillé.
    
    J’attaque la lecture d’une revue professionnelle, mes lunettes sur le nez. Et oui, j’ai pris un peu d’âge, et donc de presbytie. J’ai choisi une monture rectangulaire, qui me donne une allure très sérieuse, voire de bourge coincée.
    
    J’entends la douche s’arrêter. Un peu d’attente, et Pierre sort de la salle de bain. Comme d’habitude, il porte son drap de bain drapé autour de sa taille. J’ai comme un sentiment bizarre.
    
    - Approche chéri !
    
    Je lui pose la main sur le torse. Il est lisse. Il y a quelques jours, quelques poils blancs se battaient en duel.
    
    D’un coup, je tire la serviette.
    
    - Oh, mon dieu, tu l’as fait.
    
    Sous mon regard, son sexe glabre commence à s’ériger. Je lève les yeux. Il a son petit sourire en coin.
    
    - Tu l’as fait tout seul.
    
    - Non, c’est ta copine Françoise qui s’en est chargée.
    
    - Partout ? le questionné-je.
    
    - Partout, à la cire, me confirme-t-il- Mais dis-moi, ça t’a fait de l’effet.
    
    - Un petit courant d’air.
    
    - Je ne parle pas de ça.
    
    - Tu sais, je ne suis qu’un homme, et Fran a des mains très douces.
    
    - Ne me dis pas que…- Si… Elle a pu m’admirer en pleine forme.
    
    - Heureusement, elle est lesbienne !
    
    - Peut-être ! Mais son regard s’est embué, et elle a en un léger tremblement de la lèvre.
    
    - Oh là là, elle va devoir me donner des explications. Et je continue.
    
    - Elle t’a parlé ...
    ... de casse-noisette ?
    
    - Oui- Tu ne lui a rien dit- Bien sûr, il faut qu’elle continue de croire que je suis un gentleman, pas un pervers.
    
    - Mais elle sait déjà que tu es un pervers polymorphe. ..
    
    Je marque un petit silence, puis je change de sujet.
    
    - Tu as eu mal.
    
    - Assez, oui, surtout sur mes couilles et mon trou du cul.
    
    - Pauv’ chaton…
    
    Je le retourne, à plat ventre, et je me jette sur lui. Je lui écarte les fesses. Son anus imberbe semble me narguer.
    
    Je me penche, et je lèche sa raie culière, puis je câline sa rosette, il soupire, son œillet s’ouvre, je faufile ma langue dans son cratère, je la tourne dans son rectum.
    
    Je glisse ma main sous son ventre, il se soulève légèrement, et j’entame une lente masturbation.
    
    Il se redresse, et se retourne. Je l’embouche aussitôt.
    
    Je suis fan du sexe de mon homme. Il a de très belles couilles, avec une peau à peine plissée, juste assez grosses pour que je puisse les gober en entier.
    
    Mais ce que je préfère, c’est sa bite. Si je me réfère à J&M, sa longueur est dans la moyenne haute. Ce n’est pas Rocco Siffredi, mais elle est bien assez longue pour me chatouiller la glotte. En revanche, elle est plutôt large. Suffisamment pour distendre ma mâchoire, et m’étouffer délicieusement.
    
    Et j’adore quand elle force mon anus. Il n’a jamais voulu m’élargir, mais il a travaillé ma rosette pour qu’elle reste élastique et tonique. Comme ça, chaque fois qu’il m’encule, je ressens le plaisir d’être dilatée, comme le ...
«123»