1. Jeune adulte 10 Homme de plaisir


    Datte: 18/09/2023, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... mais pas que, ho non pas que. Même s'il m'avait mal, que mal, je l'aurais laissé faire.
    
    Le contact de son corps était tellement doux, lourd, et chaud. C'était une brûlure, je sentais une telle chaleur que c'était une brûlure, mais c'était une brûlure qui ne laisse pas de trace, pas de cloque. Dans mon ventre c'était un peu plus violent, dans mon ventre j'étais retourné.
    
    C'était maintenant une sensation de plaisir intense qui se mêlait à la douleur qui devenait secondaire. Je sentais que j'allais jouir.
    
    Il se retirait, me dégageait les jambes, je pouvais enfin écarter les cuisses, il me lubrifiait et ses genoux entre les miens maintenant, il me pénétrait d'un coup rapide. En une seconde il se retrouvait au plus profond dans mes entrailles, et là il commençait à me limer avec force et vigueur. Sa queue glissait en moi, elle entrait et allait s'écraser contre je ne sais quoi au milieu de mon ventre, elle ressortait complètement pour pouvoir mieux revenir avec violence.
    
    Là je râlais, je gémissais en suivant le rythme. Là j'avais peur, j'aurais voulu qu'il s'arrête mais je ne voulais pas le lui demander, je me donnais à lui, je lui appartenait, entre ses mains je n'étais qu'un jouet, je n'étais là que pour son plaisir. Il pouvait m'utiliser comme il l'entendait.
    
    Il s'est lâché pendant un long moment puis il gémissait fort, il râlait fort, il finissait par gueuler fort, très fort même et à ce moment il me serrait de toutes ses forces dans ses bras, je ne pouvais ...
    ... plus respirer mais j'ai pris un pied pas croyable au moment ou je l'ai senti vibrer, au moment ou j'ai deviné qu'il jouissait en moi.
    
    C'est seulement au moment qu'il s'est retiré que j'ai juté. Je jutais, je n'éjaculais pas, un liquide blanc coulait lentement mais longuement de ma cage et là je ne sentais rien, absolument rien.
    
    On s'est lavé, il m'a un peu chatouiller, on a rigolé, on s'est câliné et on est retourné se coucher … J'avais mal au cul jusqu'à la gorge !
    
    Il était allongé à coté de moi quand je me suis réveillé, je l'ai admiré un moment, je n'osais pas le toucher, j'avais peur de le réveiller, il était tellement beau. Je n'avais plus mal au cul, il y avait du progrès, mais c'est dans mon ventre que je me sentais tout bizarre.
    
    Je me levais me préparais et avant de partir, je jetais un dernier coup d’œil dans ma chambre, il dormait paisiblement, il avait bougé et prenait toute la place maintenant. J'avais une violente envie de lui sauté dessus mais il fallait vraiment que j'y aille, je ne devais pas être en retard.
    
    Des nuits comme celle là, il y en a eu plusieurs, des nuits folles, des nuits de délire, des nuits qui me laissaient un souvenir douloureux au niveau de mon cul le lendemain quelquefois … Vous voyez ce que je veux dire ? … Quelquefois le lendemain matin, j'avais du mal à m'asseoir.
    
    Mais la période de retraite que suivaient ma famille, mes parents et mon jeune frère allait prendre fin. Les derniers jours devenaient de véritables jours ...