Léa, ma belle-fille 1
Datte: 17/09/2023,
Catégories:
Première fois
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... obligé d’aller me branler sous la douche, pour calmer mon érection.
Que ce soit au repas de midi, après la sieste coquine que nous faisions chaque dimanche avec sa mère, ou quand nous nous retrouvions un instant seuls dans la semaine, elle ne manquait jamais, par des sourires en coin, une petite langue sortie ou pire, en croisant et décroisant ses jambes dénudées face à moi, enfoncée dans un fauteuil bas, de laisser plonger mon regard entre ses cuisses. J’avais suffisamment de contrôle et ne manquais jamais sous ses yeux, de faire un geste tendre à sa mère. Ce que je ne savais pas alors, c’est que cela ne faisait que l’exciter encore plus.
Le samedi suivant, nous avions eu une soirée un peu alcoolisée et tardive avec des amis. Le dimanche matin, je n’entends pas ma femme partir faire ses courses. Je dors, j’ai chaud, je fais un rêve érotique semi-éveillé lorsque je sens un contact sur mon sexe. Je me réveille alors complètement et découvre Léa assise au bord du lit, totalement nue, qui me caresse. Je me redresse d’un coup et tente de l'écarter.
« Arrête ! Tu es folle !
J’ai envie de toucher, elle est chaude, elle est douce et dure à la fois ! J’aime !
Mais arrête donc ! Il ne faut pas…Laisse-moi faire ! Apprend-moi plutôt comme bien faire ! Laisse-toi aller ! » J’aurais dû la chasser, mais au contraire je l’encourage perversement.
« Serre un peu plus ta main... Descend la peau sur le gland... Pas trop… Voilà ! Remonte en serrant. Tu peux me caresser les ...
... couilles aussi de temps en temps. »Léa suit mes instructions, le regard fixé sur ma bite. Mordant ses lèvres en signe de concentration.
« Tu vas gicler ?
Je ne suis pas ton copain pour partir vite. A mon âge il en faut un peu plus.
Je veux voir ton sperme sortir.
Tu es bien présomptueuse ! Je ne jouis pas sur commande et je ne gicle pas non plus comme un jeune homme ! »Le bruit de la voiture de sa mère revenue pour une fois plus tôt, nous interrompt brutalement. Elle court dans sa chambre, oubliant sa chemise qu’elle avait retirée. Heureusement, alors que je me précipite à la salle d’eau, je trouve son vêtement au pied du lit. Je ramasse la chemise, fonce à sa chambre, dont j’ouvre la porte brutalement, la trouvant assise nue sur son lit. Effrayée de mon entrée fracassante, elle se couvre les seins et le sexe alors qu’elle me les dévoilait il y a quelques instants. Sans un mot, je lui jette le vêtement et me précipite sous la douche.
Dans la semaine, je trouve un moment pour lui dire d’arrêter, que je ne veux plus qu’elle vienne. Loin de la décourager, elle ne loupe aucune occasion de se montrer à moi. Sachant sa mère un peu éloignée, ou déjà couchée alors que je monte au lit après elle, Léa ouvre sa porte et me dévoile son corps. Pire même ! Au cours d'un repas, alors que ma femme va chercher un plat à la cuisine, elle se tourne vers moi et ouvre en grand ses jambes me montrant son entrejambes poilu, dépourvu de culotte.
Le dimanche d’après, je me lève en même ...