Maître ou Maitresse Rachel ?
Datte: 17/09/2023,
Catégories:
ff,
fdomine,
caresses,
Oral
lesbos,
Auteur: Lesbo Lover, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Je n’ai pas rappelé Sandra malgré ses vingt-sept SMS et ses neuf messages vocaux. Trop honteuse de moi pour avoir une explication sincère, j’ai préféré la fuite typiquement masculine à une explication franche et sincère.
Comment lui expliquer pourquoi j’ai baisé avec mon ex, pourtant détesté, à peine quelques heures après avoir fait l’amour avec elle ?
J’ai donc disparu de ses radars sans pour autant retomber entre les mains de Pierre qui a cru m’avoir à nouveau sous sa coupe après m’avoir possédée comme jadis.
Pour ce faire, j’ai soigneusement évité de me trouver seule avec lui lors de nos rencontres obligatoires pour ses week-ends avec Hugo, sollicitant sans modération l’aide de mon frère à qui je n’ai pour autant pas raconté toutes les frasques.
Au fil des semaines, je me suis endurcie, contactant bientôt un avocat, ou plutôt, une avocate, pour clarifier la garde de mon adorable trésor, victime collatérale du conflit entre ses parents.
C’est ainsi que j’ai rencontré Rachel sur les conseils d’une amie fraîchement divorcée. Elle me l’avait décrite comme efficace, mais froide, ce qui est un euphémisme.
Grande, brune aux yeux sombres et aux cheveux tirés en arrière, elle est tout sauf souriante, au point où j’ai failli quitter son bureau lors du premier rendez-vous tant son attitude sévère me déplaisait.
Sans imaginer de la compassion, j’espérais un peu d’empathie de la part de mon avocate aux honoraires ...
... conséquents…
Seule son assistante Delphine apporte une touche d’humanité dans ces bureaux froidement fonctionnels. Petite blonde aux formes épanouies, elle est l’exact contraire de sa patronne qui lui parle aussi sèchement que possible sans faire disparaître son éternel sourire qui réchauffe le cœur lorsque les rendez-vous sont tendus. Elle a toujours une parole agréable, voire au fil du temps, discrètement séductrice au point où je me suis demandé ce qu’elle savait de ma vie privée.
Car Rachel m’a forcément posé toutes sortes de questions, et je lui ai parlé de Sandra, redoutant que Pierre se serve de cette brève aventure pour me discréditer.
L’évocation de ma courte escapade homosexuelle ne parut pas étonner l’avocate, probablement habituée à entendre des confidences plus trash qu’un week-end coquin entre deux adultes consentantes.
Elle me posa juste quelques questions complémentaires au sujet de ma sexualité à la recherche de pratiques pouvant me desservir, mais je ne pus que lui confirmer être hétérosexuelle à l’exception de cette incartade féminine.
— Très bien.
Ce fut sa seule réaction, dont je compris le double sens quelques semaines plus tard.
Car la procédure fut longue et prétexte à de nombreux échanges par mails, par téléphone, ou parfois enlive à son cabinet où le plaisir de croiser Delphine ne faisait que croître. Au point d’imaginer parfois que la jolie blonde avait des vues sur moi, ce qui me laissait pour le moment impassible. Entre la procédure, mon job ...