1. Pudeur indécente


    Datte: 16/09/2023, Catégories: fh, Collègues / Travail fête, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, occasion, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... mains. Est-elle sincère lorsqu’elle prétend être si pudique ?
    
    Le regard qu’elle me jette en guise d’invitation à m’approcher me rassure. Feinte ou non, son apparente pudeur n’inhibe en rien mon désir d’elle. Je commence par parcourir son corps du regard, puis du bout des doigts. Elle se laisse découvrir, s’offre à moi, à sa manière.
    
    Je m’enhardis, m’empare d’elle, longuement, à pleines mains. La danse langoureuse qui nous unit me fait oublier le risque que nous prenons à nous ébattre dans ce haut lieu directorial, sur cet autel de la stratégie de l’entreprise.
    
    En même temps, tout suinte ici la puissance et la domination, ce à quoi se résume finalement tout acte sexuel, au plus tard lors de la conclusion, lorsque tacitement les amants choisissent qui baise qui, qui mène la danse, qui fera jouir qui, avant peut-être d’échanger les rôles.
    
    Les parfums du corps de Nadine sont variés et envoûtants. Certains, de plus en plus têtus, révèlent la montée de son désir intime. Imperceptiblement, elle écarte ses cuisses. Elle me refuse la découverte de ses seins et de ses fesses, mais me laisse lui retirer son shorty.
    
    Finalement, elle exige mes lèvres et ma langue, là, juste là, ah oui, exactement là…
    
    Peut-être devrais-je marchander, exiger qu’elle écarte ses bras en échange d’une première fulgurance ? Elle ne m’en laisse pas le temps. Son corps répond déjà aux premiers frôlements, aux premières explorations, puis aux délicates pénétrations qu’elle accepte en soupirant ...
    ... d’aise.
    
    Son envie de volupté prend le pas sur ses inhibitions. Elle m’offre peu à peu tout ce que son indécente pudeur lui permet de m’accorder.
    
    Je me laisse guider par les émotions que son manège sensuel fait monter en moi. Nadine flotte quelques instants entre l’envie de se cacher et celle de s’offrir, entre la volupté du jeu de cache-cache érotique et le trouble de l’abandon.
    
    Après m’avoir ouvert les portes de son intimité, elle se met à imposer le rythme qui lui convient à mes caresses, à mes pénétrations, aux basculements de mes hanches.
    
    Progressivement, sa manière de me prendre en elle devient irrésistible. Elle m’aspire, masse mon membre entre les parois de son intimité, provoque des dizaines de départs de feu dans mon ventre, me pousse à mettre enfin en branle la vague de fond qui va libérer les forces souterraines de son plaisir.
    
    Elle avale ma bite à grandes goulées vaginales, elle se désaltère voluptueusement à chaque empalement, prend entièrement possession de ma virilité pour s’offrir ces spasmes de bien-être qu’elle attend depuis bien trop longtemps.
    
    Le cri de plaisir qui s’échappe de sa gorge lorsqu’une fois de plus je repousse sa matrice de la pointe de ma queue et la fait jouir me semble alors infiniment plus indécent que n’importe quelle forme de nudité. Par ce râle animal, elle prend les commandes de ma virilité comme le capitaine d’un navire prend la barre dans la tempête.
    
    La barre de ma barre fermement en mains, elle dirige la manœuvre à ...