1. Aube (suite à "Les Bains")


    Datte: 14/09/2023, Catégories: Gay Auteur: byFtmpron, Source: Literotica

    ... caressait, puis saisissait plusieurs mèches entre ses doigts et tirait gentiment dessus, m'obligeant à me redresser, pour ensuite pousser sur mon crâne afin que je le prenne à nouveau en bouche. Puis, du bout des doigt, il m'effleurait amoureusement la nuque, m'encourageant à poursuivre. Ça me plaisait.
    
    Je le suçai jusqu'à le sentir près de jouir.
    
    Je voulais tant le posséder ! Je me redressai, tandis qu'il me regardait attentivement. J'observai sa verge dressée et ne pus m'empêcher de me caresser devant lui ; il me regarda avec un sourire entendu et attendit patiemment pendant que je le scrutais, prenant même un malin plaisir à saisir son sexe et à l'agiter paresseusement pour moi. « Tu m'excites tellement, finis-je par dire, la bouche sèche.
    
    C'était vrai. La simple vue de son corps nu aurait pu me faire jouir ; la lumière du matin commençait à éclairer notre petite cabane et je le voyais à présent clairement, étendu sous moi, sur une légère couverture de coton. Je scrutai son corps avec une faim non dissimulée ; quelques mèches de ses longs cheveux noirs s'étaient échappées de sa tresse, et son visage était lisse, parfaitement rasé ; seule une cicatrice, gagnée à l'entrainement, déformait légèrement la peau sur sa pommette ; il n'en était que plus beau à mes yeux. Ses yeux sombres étaient encore chargés de sommeil et ses lèvres pleines n'attendaient qu'un baiser de ma part. Il étira son corps musclé, aussi souple qu'un félin, et je vis le plaisir qu'il avait à se ...
    ... donner ainsi en spectacle. Je compris que son combat avec Gavril en avait été un aussi, à la destination de tous.
    
    J'inspirai profondément en le regardant, un sourire aux lèvres. « Tu es vraiment insatiable, fis-je sur un ton faussement chargé de reproches. Il sourit et hocha la tête.
    
    Je me rapprochai brusquement de lui et soulevai son bassin, l'obligeant à lever les jambes, et j'écartai ses fesses, découvrant le petit anneau de chair rose qui palpitait de désir ; il se mordilla les lèvres et je l'embrassai, là, d'abord doucement et je l'entendis retenir son souffle. Puis, du bout de la langue, je le chatouillai je le titillai, je le léchai avec une avidité non feinte. J'entendis son râle de plaisir, tandis que j'enfonçai ma langue en lui.
    
    Je pouvais le sentir se détendre, sous mes caresses du bout de la langue, et ses soupirs devinrent bientôt cris rauques ; il m'encourageait : « Oui, comme ça...Oui, oui ! Oh Thémis ! »
    
    Cela ne me laissa pas indifférent ; je sentais le désir pulser entre mes jambes et dans tout mon corps. D'une main, je me stimulai en regardant son visage, ma langue le besognant toujours. Je vis qu'il alors me fixait lui aussi ; son visage était crispé par la tension et ses yeux se révulsèrent quand j'enfonçai ma langue aussi profondément que je le pouvais en lui. Je le pris ainsi, avec ma bouche, à plusieurs reprises, jusqu'à le sentir s'épanouir comme une fleur.
    
    Je lui laissai alors un instant de répit et me redressai pour me caresser en le ...
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