1. Karine et le plaisir de la soumission 8


    Datte: 13/09/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Dan48, Source: Hds

    CHAPITRE 8 : Visite chez mon gynécologueMa journée solitaire continue, mon Hugo est avec sa mère pour faire des courses en vue de leur départ pour un mois de vacances en Espagne. J’ai passé ma matinée dans un sexshop à 70 km d’ici, une matinée… très… productive, disons. Je viens juste d’arriver au cabinet de mon gynécologue. J’ai rendez-vous à midi, et… il est midi. Pile à l’heure. J’entre dans le cabinet, la secrétaire est train de s’habiller pour partir. Je me dépêche d’entrer dans la salle d’attente. Il y a un homme seul. Je me demande s’il vient pour lui ou s’il accompagne quelqu’un. Je m’assois sur une chaise sans précaution aucune, un bruit se fait entendre, métal sur plastique.
    
    L’homme me regarde, je rougis sans dire un mot. Je pense à mon plug anal qui vient de faire ce bruit gênant quand je me suis assise. J’ai oublié de l’enlever en cours de route, j’étais tellement en retard que je ne me suis même pas arrêtée une minute pour le retirer. Maintenant, avec ce mec qui me regarde, je ne sais pas comment l’ôter avant que la visite commence. Je me tortille sur mon siège mal à l’aise : les toilettes sont dans le bureau de la secrétaire, mais elle les ferme à clef quand elle part. L’homme me regarde, il doit penser que j’ai envie d’aller faire pipi.
    
    J’entends la porte du docteur qui s’ouvre, il raccompagne sa patiente, l’homme se lève et rejoint son épouse. Le gynéco les laisse partir sans les accompagner jusqu’à la porte, il reste dans le couloir, il est juste là. ...
    ... Il se tourne vers moi :- « A vous Mademoiselle Karine ! »Il entre dans son cabinet et va s’assoir derrière son bureau, je le suis, et m’assoie à mon tour dans le fauteuil devant lui. Il est presque dans l’axe du bureau. Je garde les cuisses bien serrées de peur qu’il ne s’aperçoive que je ne porte pas de culotte.
    
    Il est mon gynéco depuis deux ans, mais jusqu’à aujourd’hui, j’avais toujours eu une tenue décente. Je n’ai pas choisi ce gynéco en fait, j’avais pris son prédécesseur, un vieux monsieur très cool. Je n’avais pas voulu de la gynéco de ma mère, et comme c’était la seule femme dans notre ville, j’ai choisi un vieux monsieur. C’était plus rassurant pour moi. N’empêche que la première fois où j’ai dû me mettre à poil devant lui j’étais mal, et je vous dis pas quand il a fallu mettre les pieds dans les étrillés. Je n’aurai pas été à poil, je serai sortie du bureau pour courir dans la rue jusqu’à la voiture où m’attendait ma mère. Le fait d’être nue, un bras devant mes seins, et l’autre main entre mes cuisses, m’a bien motivée pour rester sur place. L’auscultation a été un enfer, il a eu beau tout faire pour me mettre à l’aise, j’étais très (très) tendue, j’avais le visage en feu, plus rouge que rouge. Pourtant, il a été parfait, il ne m’a pas fait mal, et une fois rhabillée, on a parlé un quart d’heure pour me décontracter. Quand il a pris sa retraite, il y a deux ans, un jeune médecin, interne en gynécologie obstétrique aux hôpitaux de Paris a pris sa suite. 35 ou 36 ...
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