COLLECTION SALOPE. Que m’est-il passé par la tête. Saison I (2/3)
Datte: 12/09/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... notre fils, je prends une biscotte avec du beurre et je vais prendre mon train.
Je suis un petit peu en retard, je me dépêche, la fraicheur est nouvelle sur ma chatte.
Lorsque je monte dans notre wagon, William brille par son absence.
Je suis déçu, à la place de mon balai... pardon de mon patron, un vieil homme plus âgé est à sa place.
Quelques minutes avant de descendre, j’écarte mes cuisses, je suis à deux doigts de me demander s’il va me faire une apoplexie.
Descendu du train, William me prend de vitesse, là c’est moi qui prends de l’avance.
J’arrive au café, je m’installe à ma table.
William est là qui me sourit, je m’assieds faisant bien attention que ma jupe me permette d’être convenable.
• Arsène, s’il vous plait, la même chose qu'hier, deux cafés avec deux croissants.
Blanche vous m’excuserez de vous avoir abandonné dans notre train.
En temps normal, un taxi vient me chercher tous les matins et me ramène chez moi le soir.
Serge était en congé ignorant quand il reprendrait son travail, il était au chevet de sa maman près de Louhans en Saône et Loire.
Il m’a appelé hier au soir, il reprenait ce matin et j’ai repris mes habitudes.
À aucun moment dans les quelques minutes que nous passons, une allusion est faite à comment je suis sous ma jupe.
Je suis presque déçue, le petit jeu commençait à m’amuser, ...
... espérais-je qu’il se prolonge au-delà de simple exposition de mon intimité.
Je me suis toujours demandé comment une femme pouvait passer de femme fidèle à femme adultère, j’ai ma réponse.
J’ai ma réponse, même si à ce jour, je suis fidèle à mon mari.
Justement un mari qui vous délaisse et vous fait des cachoteries et un homme qui sait souffler le chaud et le froid dans sa façon de se comporter.
Il a vu la fiche que j’avais remplie à ma demande d’embauche où je dis que je suis mariée avec un enfant.
Nous rejoignons l’entreprise et nos bureaux.
• Blanche, pouvez-vous venir me voir.
• Oui, monsieur William j’arrive.
Le vouvoiement même s’il m’appelle par mon prénom montre la distance qu’il fait entre travail et gaudriole pour cet homme à l’éducation stricte.
J’entre dans son bureau avec mon carnet et mon crayon.
• Venez là Blanche à mon côté que je vous montre quelque chose.
C’est la première fois qu’il me demande de passer de son côté.
• Que lisez-vous là, Blanche ?
• « Le vert que nous employons... »
Oh ! pardon, c’est une faute de ma part, c’est le « verre » que nous employons, je ferais plus attention.
C’est à ce moment que je sens sa main glisser le long de ma jambe et venir constaté que j’ai suivi son conseil dans son courriel.
Lorsque ses doigts caressent ma chatte, comme une salope, je mouille...