Scènes (érotiques) de la vie conjugale (1/5)
Datte: 08/09/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... et Jean-Marc s'engagea sur un sentier.
- Et là, ça te va ? Il n'y a personne à des kilomètres.
- C'est parfait. Allez, je sors.
Magali s'enfonça sous les frondaisons pendant que Jean-Marc sacrifiait à son besoin naturel. Puis il entendit la voix de son épouse :- Chéri, tu peux venir s'il te plait ?
Qu'est-ce qui se passait encore. Magali avait-elle fait une mauvaise rencontre ?
Il la découvrit et il sursauta. Elle était entièrement nue sur ses vêtements étalés sur la mousse. Assise, chignon défait, pointes de seins érigées.
- Enlève-moi ce bermuda. J'ai envie de baiser.
Magali avait un faible pour les ébats en pleine nature, il le savait d'expérience. Combien de fois, au cours de randonnées, avait-il été sommé de l'honorer de sa queue. Mais là, en plein voyage, c'était un peu inattendu.
- Mais, chérie, on nous attend pour déjeuner et on va être en retard !
- Ils nous attendront. J'ai besoin de ta bite. Donne-la moi.
Jean-Marc la considéra. Quand elle devenait vulgaire, elle était vraiment chaude. Son corps était particulièrement appétissant, sculpté par une pratique assidue de la gymnastique, ses seins encore bien fermes, son pubis encore bien fourni. Il savait devoir répondre à la demande pour la conserver car elle séduisait toujours les mâles. Il se mit nu à son tour, conservant juste ses sandales alors qu'elle s'était déchaussée car elle avait toujours considéré que "l'amour, ça se fait complètement à poil". Il lui tendit sa queue qu'elle ...
... suça goulûment en lui palpant les couilles. Quand il fut totalement érigé, elle lui dit :- Viens maintenant. Défonce-moi, je suis en feu.
Mains posées sur la mousse, il la plia en deux, mis ses pieds nus au ras de ses oreilles et la creusa. Profondément, inlassablement, virilement. Magali se vantait de temps en temps auprès de ses amies d'avoir épousé "un vrai baiseur". Il le savait, on le lui avait rapporté et il se faisait fort d'être à la hauteur de sa réputation. Elle voulait qu'il la défonce ? Il cogna dur, à tel point que son corps menu quitta le tapis de vêtements pour être possédé à même la mousse, d'autant qu'elle gigotait sous lui pour accompagner ses coups de boutoir. Les petits oiseaux, s'ils avaient des oreilles chastes, en entendaient de belles. Magali entre deux cris de plaisir et Jean-Marc entre deux grognements de rut, se stimulaient à coups de mots crus, de baise, de bite, de encore, de plus vite jusqu'à un premier orgasme qui la fit frissonner de la tête aux pieds.
Considérant la queue toujours rigide de son époux, Magali la flatta et dit :- Tu as encore envie, ça tombe bien, moi aussi.
Elle se releva, le dos constellé de bris de mousse, qu'il frotta délicatement. Puis elle prit appui sur un arbre, cambrée :- Prends-moi par derrière.
Après avoir fléchi les genoux, il l'enfila et la releva à grands coups de queue tandis qu'elle s'accrochait au tronc de l'arbre en bavant sur l'écorce. La pénétration dans cette position était tellement intense, ...