1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1679)


    Datte: 07/09/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... putois !
    
    Alors ils visent ma bouche et ma tête est complétement arrosée de pisse.
    
    Avec tout ce qu’ils ont bu, ça dure plusieurs minutes avant que ça s’arrête, que leur vessie se soit vidée.
    
    - Aller, c’est à ton tour de nous nettoyer, la pute !
    
    Et à quatre pattes, je viens et nettoie chaque sexe avec ma langue et ma bouche de putain. Paolo me crache sur la gueule et les trois autres me giflent avec violence en riant. Monsieur Walter me dit sévèrement :
    
    - Va les remercier pour t’avoir traité comme tu le mérites. Va lécher leurs chaussures.
    
    Je n’ai vraiment pas envie, plus envie d’obéir mais je sais que je suis en train d’apprendre et je me souviens des Paroles du Maître, alors humilié, je viens lécher chaque chaussure en remerciant de m’avoir traité comme la pute que je suis.
    
    - Monte dans la bétaillère, salope.
    
    Me revoilà dans la bétaillère. Et à ma grande surprise, je ne suis pas seul à l’intérieur. Il y a un esclave mâle nu et souillé et je le reconnais, c’est Alexsoumis… A le voir, il a l’air d’être dans le même état que moi, puant la pisse, le sperme, il a sans aucun doute été utilisé tantôt je ne sais où, mais visiblement de la même manière que moi, par tous ses orifices… Je sais qu’on n’a pas le droit de se parler, alors ni lui, ni moi, conversons. On se contente de se regarder avec un air de compassion évident. Son sourire me fait comprendre que lui aussi, est heureux d’être dans cette situation si humiliante et dégradante. Sa nouille est aussi ...
    ... encagée que la mienne. A mon instar, il a les mains libres et c’est sans un seul mot qu’il vient se blottir contre moi alors que je viens de m’adosser contre la ridelle du véhicule. Fraternel, je le laisse poser sa tête contre mon torse et je l’enlace tendrement tout lui caressant le cuir chevelu… C’est un moment de pure tendresse, comme si Alexsoumis venait chercher ce moment tendre par besoin ou par estime de nos conditions serviles. Nous restons ainsi enlacés une bonne dizaine de minutes alors que la bétaillère n’a toujours pas démarré car le Majordome reste encore une bonne demi-heure à boire une bière avec eux et discuter de l’avancement des travaux…
    
    Alexsoumis, durant ce temps, se met délicatement à me lécher les tétons dans une douceur délicieuse, je l’avoue. Sa main caresse mon torse, mon épaule, mon bras. Je me laisse faire appréciant chaque baiser, chaque caresse. Je ne suis pas particulièrement homosexuel mais ma condition d’esclave m’amène, de fait, à savourer tout attouchement qu’ils soient d’une femme ou d’un homme. Je me surprends même d’accepter et d’embrasser goulument sa bouche qu’il me présente à la mienne. Nous nous embrassons avec passion longtemps, mélangeant nos langues fougueusement tout en nous caressant mutuellement, quand tout d’un coup, au bout de la demi-heure, j’entends Monsieur Walter saluer les cinq ouvriers et leur dire :
    
    - Demain, je vous le ramène les gars.
    
    Tous se mettent à rire et demande à Monsieur Walter de bien remercier Monsieur ...