1. Un fils du vent


    Datte: 06/09/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Davidson, Source: Hds

    ... étaient dans leurs chambres, elle fila directement sous la douche.
    
    Elle était troublée, elle avait la nette impression d'être heureuse, ce qui n'était pas compréhensible.
    
    Le lendemain elle prépara les petits déjeuners, son mari fut le premier à jaillir de la chambre, passer par la salle de bain, à avaler son café en bredouillant "hier je me suis endormi devant la télé"; les deux enfants furent moins rapides, discutant entre eux avant de prendre le chemin du collège.
    
    Juliette alla s'étendre sur le lit en se caressant le clitoris tout en pensant à "son gitan". Elle rédigera un papier mentionnant "ce soir j'ai une réunion", puis elle se prépara en prenant soin de ne mettre ni soutien gorge ni culotte, puisqu'il devait les lui rendre.
    
    Passer toute la journée avec les seins qui ballotaient sous son chemisier l'avait maintenue dans un état d'excitation permanent. Sentir la cyprine lui couler entre les lèvres et se sentir "le cul nu" la rendait "déraisonnable".
    
    Elle se gara au même endroit sur les quais du Rhône, elle regarda le jour descendre et ne put s'empêcher de se masturber à plusieurs reprises.
    
    La nuit était bien là lorsque sa portière s'ouvrit. L'ouverture de la portière avait enclanché le plafonnier, elle put apercevoir la fine moustache tandis qu'une main se glissait entre ses cuisses largement écartées.
    
    "tu mouilles déjà" se contenta t il de remarquer. Elle jaillit de la voiture et ...
    ... se mit à l'embrasser avec passion.
    
    Il la prit par la main et l'entraina vers le kiosque à musique. Il la fit s'allonger sur un banc sans dossier, une jambe de chaque côté et lui prodigua un cunnilingus qui la fit crier son plaisir. Elle jouissait comme jamais elle n'avait jouit.
    
    Il déboutonna totalement le chemisier, martyrisa les deux seins, il la fit s'empaler à califourchon sur son sexe tout en l'embrassant.
    
    Elle jouissait sans discontinuer. Il la prit en levrette sur ce même banc, la sodomisa à nouveau. Il lui fit quitter sa jupe et la raccompagna à sa voiture, le cul nu et les seins ballotant.
    
    Il la baisa sur le capot de la voiture, elle avait certainement eu cinq ou six orgasmes, peut être plus.
    
    Lorsqu'il l'embrassa une dernière fois elle lui demanda "je te revois quand?"Et il eut cette phrase à laquelle elle s'attendait: "tu sais, nous les gens du voyage nous sommes comme le vent, on passe ... le pèlerinage de Sarah est fini, je repasserai peut-être l'année prochaine, qui sait?"Il la baisa et la sodomisa encore à plusieurs reprises, elle se laissa submerger par ses orgasmes avec le délice du désespoir.
    
    Elle regarda s'éloigner la silhouette de ce fils du vent avec la vue brouillée par les larmes.
    
    Elle rentra chez elle, prit une douche, lorsque son mari la rejoint elle n'eut pas de mouvement d'échappatoire, allongée sur le ventre elle se laissa sodomiser, une larme au coin de l'oeil. 
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