-
Otages des Gitans 01
Datte: 06/09/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byelko, Source: Literotica
Notre cauchemar débuta lors d'un retour d'une soirée. J'etais au volant de notre Mercedes Classe C et nous n'étions plus très loin de notre pavillon. Je m'appelle François. François de Saint-Cyr, 51 ans. Marié à Delphine depuis 25 ans. Ma femme ne paraît pas ses 49 ans. Blonde, elle a encore un corps svelte grace à ses séances de fitness. Elle ne travaille pas, mes revenus suffisant largement à entretenir le ménage mais elle est investie dans la commune très bourgeoise ou nous habitons. Elle est maire-adjointe chargée des séniors. Nous revenions justement du gala des oeuvres sociales organisé par la mairie. Delphine était somptueuse dans une robe fourreau bleue nuit en dentelle qui s'arrêtait juste au dessus du genou. Ses jambes gainées de bas clairs étaient affinées par la hauteur des talons de ses escarpins à bride. Je posai une main possessive sur sa cuisse et la remontait lentement faisant crisser le nylon des bas. Delphine stoppa ma main d'un geste brusque me foudroyant du regard. - Qu'est ce qui t'arrive? Tu crois que je t'ai pardonné? Penaud, je retirai ma main. Delphine me faisait la gueule depuis plusieurs jours. Elle avait découvert que je l'avait trompé avec la femme du maire. Hélène Dupré, que j'avais réussi à séduire lors d'un vernissage. Je suis propriétaire de plusieurs galeries d'art dont une dans la ville et d'autres un peu partout en France. L'épouse du maire, une splendide femme de 69 ans, était venue, répondant à mon invitation, visiter ...
... ma galerie. Elle était resplendissante dans une robe de cocktail rose moulant un corps encore parfait malgré son âge. Je ne sais pas trop comment, j'avais réussi à l'entrainer dans la réserve ou nous rangeons les tableaux et elle avait fini, robe troussé, debout sur ses talons aiguilles, embrochée jusqu'a la garde, gémissant sans retenue sous mes coups de reins. Hélène était alors devenue ma maitresse. Mais Delphine l'avait découvert et maintenant j'essayais sans trop de succés de recoller les morceaux. Nous arrivons devant l'entrée de notre pavillon. Un silence de mort règne dans l'habitacle de la Mercedes. Je prend le bip et actionne l'ouverture du portail. Je gare notre voiture dans l'allée et descend. J'allais ouvrir la porte à Delphine mais bien sur elle n'attendit pas et se dirigea d'un pas ferme faisant crisser les graviers de l'allée vers la porte du pavillon. J'aperçu alors un faisceau de lumière surement provoqué par une lampe torche. Je voulu crier à Delphine de ne pas rentrer... Trop tard : Ma femme venait d'ouvrir la porte de notre pavillon. Un hurlement me parvint du pavillon et je me précipitais. Je tombe nez à nez avec quatre types et une fille. Certains avec des sacs contenant nos objets de valeurs. Je comprends que nous interrompons un cambriolage. La présence de notre chien ne les a visiblement pas découragés. Il faut dire qu'un caniche n'impressionne pas beaucoup. On fait mieux comme chien de garde. Trois balèzes tenaient Delphine ...