L'apprentissage de l'obéissance
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
ff,
jeunes,
fépilée,
vacances,
plage,
ascenseur,
hotel,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ecriv_f,
Auteur: Jocelyne nat, Source: Revebebe
... bouge pas !
Et sa main s’était frayée un chemin sous sa courte robe.
— Écarte un peu tes jambes, ma chérie ! entendit-elle encore dans son dos et elle sentit l’index chaud et agréable de Sylvie sur ses petites lèvres avant qu’il ne trouve son clitoris humide et commence à le masser en douceur.
Isabelle gémit doucement de façon incontrôlée avant de se reprendre :
— Tu es folle, Sylvie ! siffla-t-elle.
Mais elle n’arrivait vraiment pas à paraître en colère : ce qu’elle ressentait était trop excitant. Sylvie le remarqua évidemment aussi :
— Espèce de petite traînée, dit-elle aussi doucement, je commence à me demander si tu n’es pas une mauvaise fréquentation pour moi.
Le cliquetis d’un chariot signala l’arrivée d’un autre client.
Elle sourit moqueusement devant le regard affolé d’Isabelle, avant de retirer sa main de sous sa robe d’un geste naturel et de lui donner un rapide bisou sur la joue. Le client, un homme d’âge moyen en tenue de plage et portant un ridicule chapeau en tissu éponge les regarda aussi d’une manière étrange…
À cette heure du début de l’après-midi, la sieste était reine. Elles ne rencontrèrent donc personne dans l’hôtel et entrèrent seules dans la cabine de l’ascenseur.
Isabelle sourit en pensant à l’expérience d’hier soir dans cet ascenseur. Sylvie lui rendit un sourire coquin et appuya sur le bouton de l’étage juste inférieur au leur. Quand la cabine s’immobilisa, elle entraîna une Isabelle étonnée derrière elle, sortit de ...
... l’ascenseur et se dirigea vers la porte vitrée donnant sur l’escalier et située quelques mètres plus loin après un court passage faisant face aux ascenseurs. Elles laissèrent la porte de l’escalier se refermer derrière elles et se trouvèrent dans la cage d’escalier.
— Qu’est-ce qui se passe ? demanda Isabelle, curieuse, à son amie.
Sylvie lui sourit et lui répondit sèchement :
— Un simple petit jeu, avant d’aller gentiment au lit… Allez, donne-moi donc tes sandales.
Isabelle se défit de ses sandales et les tendit à Sylvie, le regard interrogateur. Le sourire moqueur de Sylvie s’agrandit encore lorsqu’elle lui dit :
— Bon, maintenant ta robe !
Les yeux d’Isabelle s’arrondirent de surprise.
— Ce… ce n’est pas sérieux, non ? Je… ne porte rien d’autre… bégaya-t-elle.
— Allons, ne gâche pas tout, après ce qui s’est déjà passé aujourd’hui ! lui sourit Sylvie.
— Je veux que tu ailles intégralement nue d’ici à notre chambre – et je ne veux plus entendre de jérémiades de ta part à chaque fois que je te demande quelque chose, Isa. J’attends que tu me fasses totalement confiance – et que tu m’obéisses ! ne reste pas là comme ça. Tu sais bien qu’à cette heure il n’y a personne par ici.
Isabelle remarqua que l’idée de courir nue dans les couloirs de l’hôtel l’excitait malgré elle :
— Bon d’accord, il n’y a personne dans la cage d’escalier, mais dans le couloir qui mène à notre chambre ?
— C’est justement cela qui est excitant, petite maligne ! lui répondit Sylvie ...