1. Soir de novembre


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Première fois Auteur: byDonatien, Source: Literotica

    ... Elle fait jaillir un jet chaud et bienfaisant sous lequel nous reprenons notre étreinte. Elle s'empare d'une savonnette délicatement parfumée et se met à me laver. La caresse de ses mains sur mes bras, mon torse et mon dos est irrésistible. Nous ne baisons pas encore et je suis au septième ciel. Qu'est-ce que ce sera quand on baisera? Peut-on vite aménager un huitième, un neuvième, un dixième ciel?
    
    C'est alors que Nicole concentre son attention sur... ma queue toute dure. « Depuis le temps qu'elle est au garde-à-vous, cette bite, elle a mérité un peu de tendresse. » Doucement, elle empoigne mes testicules de la main gauche pendant que sa droite s'empare de la tige. « On note une certaine tension, voire une tension certaine, » dit-elle. C'est sûr. Je suis bandé comme un arc. Il me semble que toute mon énergie, tout mon sang est concentré dans ma bite. Avec la lubrification de l'eau savonneuse, Nicole peut imprimer un va-et-vient irrésistible sur mon membre. Voilà qui est bien mieux que de se branlocher. Bien mieux.
    
    En femme expérimentée dans l'art de la chose, Nicole sait que je suis susceptible d'exploser à tout moment. Elle alterne donc habilement les caresses sur mes couilles, ma bite, entre mes cuisses. La pression est à son comble. C'est alors qu'elle me dit avec le sourire « Laisse-moi te donner ton premier orgasme. Je sais qu'un jeune homme comme toi récupérera très vite pour passer à la suite des événements. »
    
    Elle dégage le prépuce qui recouvre mon gland, ...
    ... se penche et le prend au complet dans sa bouche. Jamais n'ai-je ressenti une sensation aussi puissante. Sa langue tournoie autour de ma tige frémissante. Nicole sait l'effet qu'elle me fait. Elle redouble d'ardeur dans ses caresses buccales. L'effet ne tarde pas à se faire ressentir. Il me semble que l'orgasme prend naissance dans ma moelle épinière, pour essaimer partout dans mon corps. Un choc électrique d'une intensité inouïe me traverse. Je vois des étincelles sur un fond d'un noir de jais. Je me sens vaciller. Non, je ne vais tout de même pas tomber dans les pommes!
    
    Je jouis. Rien à voir avec le soulagement que je me procure quand je me branle, tout seul dans ma chambre. Cette fois, c'est du simple au décuple sur l'échelle de Richter. J'ai assez de lucidité pour étendre les bras vers les parois de la douche, ce qui me permet de me donner un peu de stabilité.
    
    J'éjacule. Combien de jets lancé-je dans la bouche de Nicole? Je n'en sais rien. Ils sont tous puissants : tous me déstabilisent. Enfin, après un laps de temps qui me semble une éternité — une douce éternité! — je reprends conscience. Nicole est là, accroupie devant moi, souriante. Mais j'aperçois un filet de sperme le long de la commissure gauche de ses lèvres. « Tu m'as donné toute la gomme » me dit-elle en rigolant. « J'ai fait de mon mieux pour gober, mais nul n'est parfaite. » Son rire me rend fou.
    
    « Allez, » dit-elle, « c'est mon tour de recevoir du plaisir! »
    
    Je ne puis qu'opiner. Je m'empare de la ...
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