1. Mon masochisme (6)


    Datte: 02/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: EloiseF, Source: Xstory

    J’attendais ainsi posée comme sexto parmi les sex-toys. Offerte comme objet de plaisir pour des jeux érotiques à venir. L’attente faisait partie intégrante du jeu et dura quelque temps qui me semblèrent une éternité. Enfin, mon Maître et Madame entrèrent dans la pièce avec deux autres hommes, c’est du moins le nombre de voix que j’identifiais. Je les sentis proches, mais avec la cagoule de cuir et le masque, je ne pouvais pas les voir. Les commentaires fusèrent.
    
    — Quelle belle salope.
    
    — Oui, bien foutue.
    
    — Vous allez pouvoir vous amuser totalement.
    
    — Totalement ?
    
    — Oui, cette jolie chienne rêve de dépasser ses limites, n’est-ce pas ?
    
    La question m’était adressée et j’avais reconnu la voix de mon Maître: Je répondis: »Oui Maître ». Je dois reconnaître que cette notion de limite eut un double effet sur moi: Inquiétude et excitation. Inquiétude, car nous avions des rapports bdsm qui étaient déjà très durs et j’avais goûté aux joies de la zoophilie, plusieurs fois maintenant. Il était donc prévu d’aller « au-delà »? C’est ce « dépassement » qui faisait naître en moi cette excitation. Qu’allait-il se passer ? Était-ce mes limites ou les limites de l’imagination de mon Maître ? De Madame ? Des deux inconnus ? Bien sûr, je savais que la seule qui avait la totale maîtrise de la situation, c’était moi. Un mot, rouge, le fameux safeword, et tout cessait. Mais avec le temps, j’avais pris cette habitude de ne plus le prononcer, de laisser douleur et plaisir ...
    ... m’envahir sans peur, d’aller vers cet au-delà inimaginable avant ma rencontre avec mon Maître. Qu’en serait-il cette fois ? Mon orgueil me dirait-il de ne pas le prononcer ?
    
    Car au plaisir qui se mêlait à la douleur de ces jeux, il y avait aussi la part d’orgueil à ne pas céder, à aller toujours plus loin.
    
    Qu’en serait-il cette fois ?
    
    Je fus soulevée de la table de présentation et attachée sur une structure que j’avais vue en entrant dans la pièce: Un H horizontal. Je fus mise à genoux dessus, attachée par les chevilles étau sommet des mollets. Sur la barre transversale, deux godemichets de taille déraisonnable furent fixés, dont les têtes touchaient l’entrée de mon anus et de mon sexe. Une large ceinture passée à ma taille et tirée vers l’avant m’obligea à me cambrer alors que mes poignets étaient tirés vers l’arrière. J’étais ainsi offert, seins en avant, cuisses ouvertes. Si je me baissais, les deux godes pénétreraient en moi. Je me souvenais de la taille de ces objets qui m’avaient été présentés: chacun devait faire au moins 6 centimètres de diamètre, ce qui représenterait une double pénétration extrême.
    
    Madame caressa ma vulve, pinça mon clitoris, l’étira entre ses doigts.
    
    — Mettez les pinces.
    
    Je sens les doigts étirer mes grandes lèvres puis deux pinces les serrer chacune.
    
    — Les poids maintenant: 1 kilo par pince.
    
    A chaque pince des poids sont fixés. Ils sont lourds, étirant ma vulve. J’ai donc 2 kilos qui tirent chacune de mes lèvres. La douleur est ...
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