Jusqu'où va la serviabilité d'un couple (3)
Datte: 02/07/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... indiscrètes. Là, ma femme m’a appelé pour m’inviter à venir m’agenouiller entre les jambes de leur victime consentante, c’est ainsi que j’ai eu l’occasion de goûter pour la première fois de ma vie à un minou de métisse. Maintenant de l’endroit où j’étais, je pouvais encore plus apprécier cette réussite esthétique qu’était Sophie.
C’est moi qui me suis chargé de la débarrasser de sa culotte, toute douce mais grande, il n’y a pas à dire, Sophie aimait le contact du lycra. Cette pièce de tissu d’une grande douceur, sentait bon la femme et le désir. Une grosse tâche de cyprine était visible au niveau de l’entre-jambe. Une fois sa culotte entre mes mains, je n’ai pas pu me retenir de la porter à mes narines pour pouvoir en humer son odeur intime, j’ai même donné un coup de langue sur les dépôts intimes. Ensuite je me suis retrouvé seul face à sa toison, elle avait un minou très bien taillé, mais dont elle laissait les poils pousser de partout, en gros le persil dépassait du cabas. Nous étions trois à nous occuper d’elle et nous n’étions pas de trop car Sophie était une véritable féline, elle en voulait toujours plus. Il était tard mais la petite jeune n’avait pas sommeil, je commençais à culpabiliser car je savais que le lendemain elle m’avait dit avoir cours; à ce rythme-là elle allait avoir la tête dans le potage demain matin. Au début Sophie ne faisait que subir mais maintenant elle prenait des initiatives en caressant Élodie à travers son chemisier, elle connaissait les ...
... parties sensibles d’une femme. De mon côté je n’ai pas été bien long à venir me délecter de sa cyprine qui coulait abondamment, à sentir sa réaction, il n’y avait pas à dire, elle n’attendait que ça.
Je pouvais constater la douceur de sa peau et je prenais grand plaisir à lui caresser des cuisses ainsi que la taille. Vu que nous étions trois à nous occuper de son corps, il m’arrivait de temps à autre de croiser les mains de ma femme. Le goût de son nectar était assez fort mais une fois que l’on y avait goûté on ne pouvait plus s’en passer. Pour ma part je m’attardais plus particulièrement sur son clitoris qui manifestement était très sensible. Ma langue tentait en vain d’assécher la source au niveau de son vagin pour remonter jusque sur sa friandise. J’ai constaté avec stupeur qu’Élodie était en train de lui pincer fortement la pointe des seins, Sophie avait l’air de prendre son pied ainsi. Voilà comment au bout de quinze bonnes minutes, notre hôte a fini par prendre son pied sous la pression de six mains et trois langues expertes. Elle aurait bien voulu crier mais Élodie s’est chargée d’étouffer tout bruit pouvant sortir de sa bouche. Maintenant Sophie accusait le contre coup, elle avait les jambes flageolantes, les deux mamans se sont chargées de l’allonger sur le canapé.
Les deux mamans m’ont demandé si je ne pouvais pas la porter jusque dans la chambre d’amis, elles avaient envie de dormir avec elle cette nuit. Malgré sa grande taille, Sophie ne devait pas dépasser les ...