1. Mention Bien


    Datte: 01/07/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, voisins, vacances, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe init, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... là où le regard voit la fissure se refermer une masse de chair, informe, plissée qui, je le sais, cache et protège la bite des femmes, le clitoris.
    
    Lily recule. C’est à elle de s’asseoir sur le banc. Je rampe vers elle. Ses pieds se posent sur mes épaules pour s’ouvrir à moi. Elle se saisit de ma tête entre ses mains.
    
    — Fais-moi jouir, mon bel Alex, accompagnant la parole au geste.
    
    À partir de cet instant, je suis aux ordres. J’obéis et je préfère. Je ne voudrais pas que mon inexpérience des femmes, de leurs secrets, de ces régions lointaines inconnues au néophyte que je suis, nuise à la suite de cette soirée.
    
    Brave petit soldat, je suis. Pourrait dire le grand maître Jedi, Yoda.
    
    — Suce.
    
    Je suce.
    
    — Aspire.
    
    J’aspire.
    
    — Lèche.
    
    Je lèche. Ma langue. Ma bouche. Mes lèvres. Mes doigts. Tout est à sa disposition.
    
    Je découvre les secrets que les photos et vidéos ne montrent pas. La délicatesse de la peau, le goût de cette humidité latente et de celle que je provoque, signe de mes capacités.
    
    Et ce fameux petit bouton, toujours caché, toujours mystérieux, le but à atteindre après tous ces détours. Quel plaisir de l’extraire de sa gangue protectrice, de le sentir s’ériger comme une bite en miniature, vivre sous mes lèvres et transmettre tant de plaisir à sa maîtresse.
    
    Mais le top du top c’est le résultat. Sentir Lily perdre pieds grâce à mes caresses. Goûter à la liqueur qui coule de sa chatte. La voir vibrer et frissonner dès que je la touche. Et ...
    ... les cris. Oh oui, ces cris, indistincts, gutturaux, obscènes, mais si beaux à entendre d’une femme que la jouissance submerge grâce à mes caresses et non pas celles artificielles, orchestrées et tarifées du Net.
    
    — Viens, viens, prends-moi.
    
    Quel homme, encore plus, un débutant, ne serait pas fier de cette demande.
    
    Lily s’est levée. Elle cherche une capote, me la donne, me demande de m’allonger dans l’herbe. J’obéis et le latex recouvre ma bite douloureuse d’être si dure. Lily vient sur moi, me chevauche, me montre sa chatte qui brille à la lueur des bougies de ce dîner traquenard et s’empale sur ma queue qu’elle guide d’un doigt.
    
    De la crème. Un pot de crème, c’est l’impression que j’ai alors qu’elle descend sur moi. Ma queue se fraye un chemin facilement dans ce vagin large, dilaté et humide, mais aussi bien plus serré que je pensais trouver chez une femme de son âge et de son expérience.
    
    Les fesses arrivent sur mes cuisses. Me voilà bien enchâssé.
    
    — Putain que c’est bon, dit ma cavalière alors qu’elle commence une danse du ventre sur moi.
    
    Ma queue est une cheville autour de laquelle Lily ondule.
    
    Lily d’ailleurs ferme les yeux. Elle se penche un peu sur moi pour certainement profiter encore mieux de mon bâton, apportant le cadeau de ses seins que je peux alors saisir de la bouche.
    
    Les abdominaux que je me suis forgés cet hiver sont des aides précieuses. Je virevolte d’un téton à l’autre, en abandonnant un, pour aussitôt m’en saisir des doigts et le ...
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