1. L'arrivée à Montréal


    Datte: 05/03/2018, Catégories: f, ff, jeunes, copains, cinéma, Masturbation jeu, confession, québec, Auteur: Audrey, Source: Revebebe

    ... demandés. Cela excita énormément Karine, qui envoya un courriel à la fille qui avait écrit l’histoire, et participa au jeu. J’ignore ce qu’elle a fait, mais elle m’a dit qu’elle s’était éclatée lorsqu’elle termina deux semaines plus tard, après que je l’eus à peine vue pendant qu’elle tentait toutes sortes d’expériences. Karine me conseilla de faire pareil, j’ai refusé. Je voulais rester fidèle à mon copain, je ne me sentais pas bien à m’abandonner n’importe quand à n’importe qui et de plus, avec l’université et mes travaux d’université, je n’avais pas le temps. Karine me convainquit alors d’au moins l’accompagner sur le chat quand elle allait faire le même jeu avec d’autres filles. J’acceptai avec joie, cela ne me prendrait pas trop de temps, et pimenterait notre vie sexuelle.
    
    Nous avions donc deux filles qui jouaient avec nous, moi et Karine nous nous consultions pour savoir ce que nous leur faisions faire, coucher avec des inconnus, dans des endroits publics. Les filles disaient s’éclater, on s’éclatait nous aussi, on lisait leurs récits et on s’adonnait ensuite à des baises d’une intensité incroyable moi et Karine ! Mais toute bonne chose a une fin, Karine, trouvant une des deux filles vraiment sexy, décida d’aller la rencontrer. Moi je n’y étais pas allée, j’étais bien trop timide ! J’aurais peut-être dû y aller finalement. Car lors de cette soirée, les deux filles ont fait connaissance, ont fait l’amour ensemble, et ce fut le début de la fin de ma relation d’amitié ...
    ... avec Karine.
    
    Tout d’un coup, puisque la fille du jeu essayait tout plein de nouveaux trucs avec elle, Karine se désintéressa de moi au plan sexuel. Je pouvais vivre avec ça, c’est surtout l’amie qu’elle était pour moi, c’était le plus important ! Pas pour elle. Un soir que je l’ai appelée pour qu’on se fasse un petit souper, elle m’a totalement engueulée comme quoi je la dérangeais, que j’étais finalement quelqu’un de sans intérêt et qu’elle ne voulait tout simplement plus me revoir, ni avoir affaire à moi et elle me raccrocha la ligne au nez ! Vous ne pouvez pas vous imaginer comment j’ai pleuré ce soir-là ! Karine était la personne qui me sortait de la solitude ! Je retombais dans la solitude la plus totale, et j’en étais désemparée. Je croyais vraiment à notre amitié et je voyais désormais qu’elle ne voulait qu’une fille pour baiser, avant de me remplacer par quelqu’un qui lui convenait le mieux.
    
    Ce soir-là, j’ai parlé avec ma mère très tard, je peux vous l’assurer !
    
    Ce ne furent pas mes seuls déboires, dans les jours qui suivirent. Après avoir perdu ma seule amie dans la grande ville, mon copain m’appela la semaine suivante pour me dire qu’il avait rencontré quelqu’un d’autre, de moins gêné, plus sociable, bref, qu’il me larguait pour aller avec une autre fille. Pire, il eut le culot de mettre toute la faute de l’échec de notre couple sur ma faute à moi ! Je n’aurais eu qu’à rester dans la région plutôt que de quitter pour Montréal, ou de faire le BACC d’histoire ...
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