1. La toute première fois...


    Datte: 30/06/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail hsoumis, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation nopéné, jeu, Auteur: Alpin en string, Source: Revebebe

    ... sa jupe. À ce rythme-là, j’ai rapidement du mal à me concentrer sur mon travail et je sens une douce chaleur envahir mon bas-ventre.
    
    Lorsqu’elle retourne à son bureau, je ne peux résister, je trouve un sujet de conversation quelconque et je l’y rejoins. Elle est assise, ses longs cheveux ramenés du même côté découvrent son cou délicat. J’ai envie d’y déposer de doux baisers coquins. Le décolleté de son petit gilet ne tient que par un petit lacet de laine et, avec l’angle de vue adéquat, laisse découvrir la dentelle de son soutien-gorge.
    
    — Bon, je suis face à un sacré dilemme.
    — Ah bon ? Qu’est-ce qui t’arrive ?
    — J’avoue que depuis que je t’ai vu ce matin, j’ai du mal à me concentrer.
    
    Elle sourit.
    
    — Et du coup je ne sais pas quoi penser : vaut-il mieux que tu ne viennes plus en jupe ou au contraire devrais-tu venir plus souvent ainsi habillée afin que je finisse par m’habituer ? Car à ce rythme-là, j’ai peur que ma productivité en prenne un sacré coup… Et arriverai-je à m’habituer ? Car il faut bien avouer que tu es ultra sexy ainsi…
    
    Elle croise et décroise ses jambes, je sens la chaleur augmenter en moi.
    
    — C’en est à ce point ? me dit-elle avec son petit air mutin qu’elle prend parfois quand on se lance dans nos dialogues et délires coquins…
    — Cette fois oui !
    — Et que ressens-tu en me voyant ainsi ?
    
    La question me surprend, car habituellement, elle évite ce genre de propos aussi direct, préférant de loin la sécurité des sous-entendus. Tant pis pour ...
    ... elle, je me lance.
    
    — Outre une réaction biologique et physique bien normale à mon entrejambe, je dois avouer que ça me donne envie de te caresser doucement les cuisses, avec les mains… avec la bouche… et de remonter lentement entre tes cuisses.
    
    Le temps semble s’écouler lentement, des secondes interminables qui ne font qu’accentuer mon excitation.
    
    — Ah oui ? Tu m’étonnes. Je t’imaginais avoir des envies plus bestiales…
    — Comme envie de te coucher là maintenant sur le bureau et te limer à fond…???
    
    Elle se met à rire.
    
    — Par exemple, oui !
    — Eh bien non, je ne sais pas pourquoi, mais la vue de tes cuisses ainsi délicatement voilées crée en moi des besoins de douceur, de caresses à ton égard.
    — Mouais. Bon maintenant j’ai du boulot, laisse-moi !
    
    Une fois de plus me voilà jeté à la porte comme un mal propre, à la limite du mépris. Aurais-je été trop loin ? Je commence déjà à regretter m’être laissé aller avec elle.
    
    Je retourne à mon poste, me sentant rejeté, exclu et cela fait d’autant plus de mal que c’est par une femme qui m’attire et à qui je viens plus ou moins de me confier. Plongé dans ces sombres idées, je me replonge dans mon travail en espérant oublier tout cela.
    
    Quelques minutes s’écoulent. Le téléphone sonne. Un appel interne.
    
    — Allô ?
    — C’est moi, je suis dans l’atelier. Pourrais-tu m’aider à descendre un carton de l’étagère s’il te plaît ?
    — OK j’arrive.
    
    Je n’avais pas vu qu’elle était descendue. Je descends les escaliers qui mènent ...