1. Moi Marylin 2 le cambrioleur


    Datte: 30/06/2019, Catégories: Anal Hardcore, Première fois Auteur: mayday3415, Source: xHamster

    ... je tenais toujours ma carotte crispée dans une main entre mes cuisses. J’entendis alors son éclat de rire, je ne le voyais pas gardant obstinément les yeux fermés. Il finit par cesser de rire et dit d’un ton qui ne souffrait aucune revendication de ma part,
    
    -En voilà une jolie salope ! Tu voulais te faire plaisir ? Moi je voulais juste ton fric, mais puisque je vois que tu aimes ça, tu vas avoir ce que tu voulais. Je vais enlever ma main et si tu cries je te jure, je t’assomme.
    
    Il enleva sa main et je le suppliais de prendre l’argent que j’avais dans mon sac et de partir promettant de ne rien dire, ni d’appeler à l’aide.
    
    Je reçu en réponse une gifle monumentale qui laissa la marque de ses doigts sur ma joue dans une brûlure énorme. Là encore, comme avec Ferdinand, j’ai eu comme un déclic, j’ai ouvert grand les yeux, j’ai fixé son regard perçant, la seule chose visible de son visage, puisqu’il portait une cagoule et je lui ai dit,
    
    - Baise-moi, encule-moi, défonce-moi !
    
    L’homme marque un temps d’arrêt, ne s’attendant pas du tout à une telle réaction, puis avec des gestes fébriles, il enlève ses vêtements et son boxer libérant un pieu de belle taille qui aurait complexé Ferdinand. Je vois le manche majestueux dressé qui tape contre son ventre velu et je ne résiste pas à l’envie de le saisir dans une main, tout en avançant ma bouche pour venir l’honorer entre mes lèvres humides de désir. L’homme me saisit lui aussi par les cheveux (c’est une manie qu’ils ont de me ...
    ... prendre la tignasse, mais bon j’aime ça !) sa main plaque mes lèvres qui s’ouvrent au maximum pour pouvoir absorber le monstre. J’ai toujours le souvenir du goût de Ferdinand et suis surprise de constater que celui-ci n’a pas du tout la même saveur. Il est plus a****l, plus sauvage et ne sent surement pas le bébé Cadum. Cependant, loin de me rebuter, cela m’excite encore plus et c’est avec vigueur que je l’astique. Sans prévenir et me tenant toujours par les cheveux l’homme me fait lâcher prise et m’ordonne,
    
    - A quatre pattes je vais régaler ton cul, tu t’en souviendras longtemps.
    
    J’essaye de lui dire que j’ai du gel dans le tiroir de ma table de nuit, mais je n’ai pour réponse qu’une violente gifle sur mon fessier rebondi. L’homme continue d’ailleurs avec ses battoirs et très vite ma croupe est brulante. Malgré tout je me cambre encore plus et l’encourage à continuer la punition qui commence à me faire mouiller très fort. Parfois la fessée s’interrompt et il se met à pétrir ma chatte comme le ferait le mitron d’une pâte à pain pour la faire lever. J’aime sa brutalité, et je l’accompagne même, pinçant mes gros tétons et les tirant sauvagement. Mon cul doit ressembler à celui d’un babouin quand il arrête la magistrale correction et c’est avec soulagement même si j’ai beaucoup mouillé, que je sens son gland énorme se presser contre ma rondelle. Je ne m’avise plus de lui proposer du gel, craignant qu’il se remette à me fesser et contrôlant ma respiration pour me détendre, ...