Confidences de mon médecin
Datte: 29/06/2019,
Catégories:
Hardcore,
Anal
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... cuisses, mon intimité devenait son amie…
Il avait pris ses marques, compris mon fonctionnement, mes attentes…
Doux, précis, inventif, variable, adorable, tendre, il me déposait sur le nuage que j’adorais, bercée de brumes, je transpirais le sexe, mes effluves, son sperme coulait le long de mes cuisses ouvertes, avait giclé sur mes seins… Je passais mon doigt et le portais à ma bouche… Il le partagea…
Je venais d’être sienne, de connaître l’amour extra-conjugal la seconde fois de ma vie, si puissant, si prenant que je jouissais encore à chacune de ses caresses…
J’avais ressenti cette onde de plaisir, cet orgasme divin quand son sexe se raidit, et ses derniers coups de reins, quand la chaleur se propage dans tout mon ventre, et qu’il se détend, libéré, comme un cheval mort, étalé contre moi, en moi…
L’eau me fit du bien, je nageais quelques longueurs, buvais du champagne ultra frais…
Il vint derrière moi, une main autour de mes seins, glissant entre mes fesses, l’autre s’activait déjà…
Je compris… Je n’avais jamais dit non à mon mari, qui m’avait déflorée de ce côté…
J’aimais le faire, c’était une variante dans notre patrimoine de plaisirs…
Mais c’était aussi un acte réservé, intime, accouplement immoral dans mon éducation, mais si bon, quand réalisé avec tendresse et amour.
Je sentis son doigt s’insinuer après m’avoir stimulée, assouplie, préparée…
Ce n’était pas son doigt…
Il me prenait accrochée aux rampes de l’échelle, les fesses ...
... écartées, ouverte et oui… je le voulais… et oui, je m’ouvrais, écartais mes fesses, soulevais mon bassin vers lui…
- Oui !... Viens !... Prends-moi… Tu n’es que le second ici, viens me faire jouir…
Et tandis qu’il y allait de plus belle, je me masturbais le clitoris, trois doigts dans le vagin, le torturant à en crier, délirant mon plaisir bruyamment et je sentis sa chaleur dans mon rectum, sodomisée comme une traînée des rues, comme une bourgeoise immorale et perverse…
Epuisée, je m’endormis, je me sentis emportée dans la nuit, dans un lit chaud, enveloppée d’amour sans rêves…
Il eut le tact d’éviter le lit conjugal, mais un large canapé, dans le chalet d’été…
Au matin, je n’avais plus d’enfants, ni de mari, j’étais jeune, amoureuse, on refit l’amour avant que je regagne l’hôpital…
Cette journée, ce fut la panique, les accidentés de la route étaient moins nombreux, certains étaient partis hors de danger, d’autres plus sérieusement furent transférés, d’autres enfin restaient chez nous pour les soins classiques, réduisant le nombre de lits…
Ce fut le moment d’un pic d’accouchements, sans précédent. Quarante, de dix heures à minuit, plus de 2 par heure… Nous n’étions pas équipés, pas assez nombreuses, mais je gérais…
Je travaillais 45 heures d’affilée pour tout aplanir, et au final mamans contentes, bébés adorables. Avant de partir, je refis les commandes de médocs, de lait, de sang en urgence, les reçus, les contrôla… Je rappelais des infirmières en repos et ...