Un moment de tendresse
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
fh,
frousses,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
bougie,
ecriv_f,
Auteur: Mona, Source: Revebebe
... ville avait son charme, mais physiquement, pfiou ! Même le bain parfumé de sels de pétales de roses, avant son repas, n’avait pas pu la détendre.
La serveuse déposa devant elle un sorbet framboise. Pile ce qui lui fallait pour se rafraîchir le bec après son repas.
— Je peux goûter ? L’apostropha une voix douce.
Mona leva la tête vers celui qui osait la déranger durant sa délectation. Ses yeux s’agrandir de surprise. Elle en perdait ses mots, en oubliait son sorbet. Elle se dressait gauchement de la table. Cela ne dut pas passer inaperçu parmi les gens qui les entouraient. Mais peu lui importait. Il était venu, il l’avait rejointe pour quelques heures seulement.
— Mais que fais-tu ici ? Je dois rêver, ce n’est pas possible que tu sois vraiment là, lui dit Mona abasourdie.
— Si, tu le vois bien, dit-il avec un clin d’œil, à moins que je ne te dérange par ce que tu en attendais un autre.
— Non, non, du tout c’est bien toi que je rêvais de voir, dit-elle, n’en croyant toujours pas ses yeux.
— Allez viens, murmura Luc. J’ai envie de toi.
D’une main, Luc la guida vers l’étage pour rejoindre sa chambre et de l’autre, il tenait la coupe glacée. Elle ne pouvait plus parler tellement elle souriait.
Son regard brillant. Intense et lumineux. Le bout de ses doigts glissant, sur la peau de Mona, lentement au point de lui donner des frissons de plaisir. Son visage blotti dans les grandes mains douces de Luc. Son cœur se serra sous une bouffée de chaleur qui ...
... l’irradia entièrement. Ses lèvres parcoururent son visage. Avec la pointe de sa langue, il entrouvrit ses lèvres qui s’écartèrent d’elles-mêmes sous cette douce pression. Les doigts de Mona se perdaient dans sa nuque alors que leurs langues dansaient langoureusement.
Elle lui souriait, les yeux brillants. Rallumant rapidement son ordinateur portable posé sur le bout de son bureau. Doucement s’éleva une mélodie entraînante et primitive. Elle constata qu’il avait mis à profit ce moment pour sortir quelques bougies qu’il alluma prestement.
Son sorbet fondait. Pas étonnant vu la chaleur qui se dégageait à présent. Le thermomètre n’était pas le seul indicateur que cela chauffait. Le peu de contact corporel qu’ils avaient eu, avait réveillé une douce chaleur dans son bas-ventre qui devenait doucement humide.
Il s’assit sur le lit et entreprit de glisser ses mains sous son haut pour le lui ôter. Posant ses lèvres sur la dentelle qui recouvrait ses seins, ceux-ci durcissaient et pointaient d’envie.
Il dut s’y reprendre trois fois pour dégrafer son soutien-gorge, puis s’attaqua son jeans qu’il fit glisser en même temps que son string. Elle se retrouvait nue devant lui. La lumière tamisée de la chambre rendait leur intimité plus douce.
Elle se mit à genoux face à lui. Un à un, elle fit sauter les boutons de sa chemise toujours en souriant, son regard laissant clairement indiquer que ce moment lui plaisait infiniment. Elle le poussa sur le lit pour l’allonger et continua à le ...