1. secrétaire.... mais pas queue (chapitre 2/3)


    Datte: 28/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: fuck_machin, Source: xHamster

    Les jours ont passé et je commence à oublier cette histoire. Mais Emmanuel avait de plus en plus de mal à remonter la pente. En effet, cette rupture de coopération était parvenue aux oreilles de nombreux promoteurs qui, sans savoir la réelle cause, préféraient avoir à faire à quelqu’un de plus stable et plus posé. Nous voilà bien, même quand il n’est pas là, il arrive encore à nous atteindre.
    
    Un nouveau rendez-vous est pris entre Stéphane et Maître BERTRAND. J’essaie de demander à une collègue de le recevoir à son arrivée. Malgré tout, on m’appelle encore dans le bureau pendant le rendez-vous.
    
    - « Otez votre chemisier, Sandrine s’il vous plait. »
    
    Encore… bon faisons ça vite alors, ça va amusez ce gros con quelques instants et il ira se branler comme un vieux pervers. J’enlève mon chemisier.
    
    - « Votre soutien-gorge aussi. »
    
    Je l’enlève. Mes seins sont à l’air devant ses deux vicieux. Maître BERTRAND ne perdait pas une miette de ce qui se passait. Stéphane se lève, regard méchant et pervers, descend sa braguette et sort son sexe déjà tendu.
    
    - « Mets-toi à genoux et suce-moi » m’ordonne-t-il.
    
    Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas comment, mais je le gifle de toutes mes forces. J’entends encore la claque résonner dans la pièce. Et je lui crie :
    
    - « Comment tu me parles, sale pute ! Tu crois vraiment pouvoir me donner des ordres avec une aussi petite bite ! Ferme ta gueule et range ce qui te sert à pisser dans ton futal. Tu n’es qu’un sac à merde et ...
    ... jamais tu ne pourras me baiser comme il se doit. »
    
    On est resté là tous les 3 à se regarder pendant une bonne minute. J’attendais qu’on me dise de partir ranger mes affaires. Contre toute attente, Stéphane baissa les yeux, et rangea sa bite. Je remets mon soutif, mon chemisier et en sortant, je dis tout haut ce qui me passe dans la tête « pfff, pas de couilles ni l’un, ni l’autre ».
    
    Je ne sais pas ce qui m’a pris, et je m’attendais à recevoir ma lettre de licenciement dans les jours suivants…mais rien. Je dois avouer que ça ne m’a pas déplu de les envoyer chier l’un comme l’autre. J’étais fière de moi.
    
    A la maison, on en était revenu à la même chose, routine, mauvaise humeur, inactivité… Je me disais même que cette mésaventure avait du bon puisqu’elle mettait un peu de piquant dans ma vie actuelle.
    
    Le rdv suivant ne s’est pas fait attendre. Qu’est-ce qu’il voulait à la fin ? me baiser ? sa revanche ? A nouveau dans le bureau, les mêmes trois personnes. Stéphane me dit alors
    
    -« Maitresse, ordonnez et nous obéirons. »
    
    Putain mais c’est quoi ce délire, ils sont à genoux devant moi. Leur regard avait complètement changé. On aurait dit deux petits chiens. En fait, la situation m’amusait, et je voulais savoir jusqu’où on pourrait aller. Je ferme la porte du bureau à clé. Pour tester, je leur demandais de marcher à 4 pattes, d’aboyer, de me lécher les chaussures. C’est qu’ils obéissaient bien, mes petits chiens. Je tapais aussi un peu, le dos, les bras, les pieds, les ...
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