Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (14) - Histoires de Sexe

Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (14)

... l’estrade pour qu’elle voie bien tout ce que sa fille va subir par amour pour elle.

L’homme qui vient de parler se lève, s’approche de Marie, prend l’un de ses seins en main et le soupèse. Il l’empoigne alors et le tord brutalement. Marie crie, tellement la douleur est forte et surprenante. L’homme continue et plante ses ongles dans la chair tendre. De son autre main il plante un doigt en crochet dans sa jeune chatte

— Dieu m’en est témoin… (tout le monde rit) … mais sa jeune poitrine est admirable. Bien ferme, la chair tendre. Son con encore bien étroit va être apprécié de tous les hommes ici présents. Un vrai plaisir d’avoir une adolescente aussi bien formée et docile ; à son âge, elles sont plutôt rétives. Beau travail que vous avez fait là, Tom ; je sens qu’on va bien s’amuser avec elle. Elle a un visage d’ange qu’elle va perdre quand nous l’aurons pervertie. Voyons son petit cul…

Il la fait pencher en avant et plante son index dans son fondement. Heureusement, il est bien lubrifié.

— Ses sphincters répondent bien à mes sollicitations. Je les ai sentis palpiter lors de l’intromission. Vos queues, Messieurs, vont apprécier. Voyons sa bouche maintenant… Tu vas sortir ma queue et tu vas nous montrer comment tu suces. Je veux que tu la prennes entièrement au fond de ta gorge ; Tom m’a dit que tu savais faire. Si par malheur je sens tes dents, tu recevras dix coups de paddle sur tes jeunes fesses. Tu as compris ?

— Oui maître ! répond Marie.

Elle s’exécute ...

... immédiatement en dégrafant le pantalon de l’homme qui tombe à ses pieds. Elle descend son slip d’où jaillit une énorme bite en pleine érection. Manifestement, Marie lui plaît.

À la vue de ce morceau de chair qui se dresse devant ses yeux, elle a un regard effrayé et se demande comment elle va pouvoir l’avaler, et surtout éviter les coups de paddle si par malheur ses dents viennent à le blesser. Elle s’applique et lèche lentement le sexe puis, une fois bien humidifié, elle le fait pénétrer jusqu’à ce qu’il touche sa luette. Sa bouche est écartelée au maximum tant il est gros. Elle fait comme je lui ai appris et l’absorbe dans son œsophage.

Pour l’instant elle contrôle l’opération mais c’était sans compter sur les réactions de son maître du moment. Fou de désir de voir cette gamine aussi docile avaler son braquemart aussi loin, il va la coïter brutalement, utilisant sa gorge comme un sexe au risque de l’étouffer. Heureusement, devant cette soumission hors normes, il ne peut se retenir : il éjacule rapidement et sort immédiatement de la cavité buccale.

C’est alors que, manifestement de mauvaise foi – mais un maître peut-il l’être ? – il prononce ces paroles qui résonnent comme une sentence :

— J’ai senti tes dents, petite salope ! Tu as encore beaucoup à apprendre, et rien de tel que de te tanner le cuir pour que ça te serve de leçon. Allez, mets-toi à plat ventre sur ce pouf ; je vais faire rougir tes fesses pour que tu comprennes bien.

Marie ne dit rien car elle a ...