La culotte de Rose 3
Datte: 27/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... donner des frissons et atteindre l’orgasme sans moi. Quand utilise-t-elle cet œuf vibrant ? Devant moi et je ne m’en rends pas compte ? Est-ce possible ? Ailleurs : au travail, dans le bus? Seule ou avec l’aide d’un tiers éventuellement? Qui l’a dirigée dans ses choix ? Je pense immédiatement à Claudine ! J’ai aperçu la cousine dans les parages à plusieurs reprises. Il y a de quoi inquiéter. Je range les objets soigneusement.
La situation est grave. La malheureuse épouse a commis une grosse imprudence en m’épousant. Elle croyait à l’amour, elle était certaine de jouir quand nous nous aimions, ne se souciait plus de connaître des membres plus importants, elle me garantissait que j’étais un mari parfait sur tous les plans, y compris au lit. Et vlan, je m’aperçois qu’elle ressent le besoin de recourir à des jouets sexuels pour assouvir ses besoins, pour atteindre des plaisirs que je dois être incapable de lui donner. Une fois de plus je me sens humilié. Pourquoi complète-t-elle nos accouplements de cette manière ? Pourquoi ne m’associe-t-elle pas à ces jeux ?
Elle utilise ces objets en secret, c’est-ce qui m’anéantit. J’imagine la scène. Rose se sent seule, Rose a envie de passer un moment agréable, elle sort son vibromasseur. (Elle a une bonne excuse, son mari n’est pas là.) Il faut le rendre glissant : elle le porte à la bouche, le couvre de salive. L’objet descend vers sa fente, attaque le capuchon du clitoris. Elle appuie sur l’interrupteur, laisse vibrer sur ce ...
... point sensible. Arrive la nécessité de parcourir la vulve, de se glisser entre les grandes lèvres. Les nymphes exigent leur part de frémissement.
La tête du vibro trouve un orifice, s’y enfonce, pénètre, heurte les bords du conduit, dépasse en profondeur la zone limite où s’arrête mon petit pénis, avance encore, devient l’ami le plus intime des profondeurs inexplorées, s’agite, remonte, se met à aller et venir, manié par un poignet souple, secondé par des doigts si doux sur le gardien de la grotte, ce clitoris énervé d‘où partent des ondes électriques. Introduit-elle vraiment toute la tige, soit en la poussant soit en s’asseyant dessus jusqu’à toucher son utérus ?
Ah ! Si elle m‘aimait, elle me confierait le soin de lui faire connaître ces contrées où on perd pied, où seul compte l’oubli de l’instant présent et la sensation d’échapper à la pesanteur, de partir dans un autre monde ouaté, rose ou bleu layette. Hélas ou elle craint de blesser mon orgueil de mâle vaincu par ce sinistre robot, ou elle a honte d’avouer ce transfert réclamé par ses sens. Voilà un domaine inconnu, elle ne me permet pas de l’y accompagner. Nous devons tout faire à deux : sauf ça? Pourquoi cette restriction ?
Je suis frustré, son plaisir est égoïste. Rose me vole ma part d’un bonheur que nous devrions partager. Comment sortir de cette situation ? Je saute dans ma voiture, fais un saut en ville, reviens et m’étonne à peine de son souffle oppressé et des perles de transpiration sur son front : j’en ...