Ma tendre maman (4)
Datte: 27/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Le templier5466, Source: Xstory
... ahanements résonnent dans la chambre, Hélène baragouine des phrases, dont je ne comprends pas le moindre mot. Son corps se tend comme la corde d’un arc, elle émet un cri de bonheur, un jet abondant de son nectar m’inonde la bouche. Je me désaltère de ce délice, mon inconscient compare ses flots aux grandes eaux de Versailles. En relevant la tête, je vois Hélène les yeux fermés, elle savoure sa jouissance jusqu’au bout. Relevant légèrement sa tête, les yeux entrouverts et avec un large sourire, elle me lance :
— Merci, mon amour, c’était géant !
— J’aime te donner du plaisir, pour moi aussi, c’était grandiose !
Me tendant les bras, elle me dit :
— Viens en moi, je veux te sentir mon chéri !
Une telle invitation ne peut se refuser, le temps que je me redresse, Hélène relève ses jambes en se passant la langue sur les lèvres, cet acte érotique et provocateur veut tout dire. Ma belle souhaite profiter de mon bâton d’amour. Je me positionne sur elle, tandis qu’Hélène dépose ses chevilles sur mes épaules. Nos regards s’électrisent, encore une fois, nous allons nous unir, pour ne plus faire qu’un.
Mon gland entre en contact avec sa vulve, mon sexe investit sa minette sur un train de sénateur.
— Vas-y doucement, ce n’est que du bonheur à cette vitesse !
Avec lenteur, j’atteins le fond en donnant un petit mouvement de bassin lui déclenchant un énorme gémissement. Nous retrouvons vite de la douceur. Je reste toujours planté dans son ...
... tréfonds, tandis que nous nous embrassons. Hélène commence à me malaxer avec des contractions vaginales qui me font frémir. Nos lèvres toujours soudées, je débute mes mouvements, toujours en douceur. Je ressors et replonge toujours à la vitesse de l’escargot. Malgré la lenteur de mes mouvements, notre excitation grimpe en flèche. Notre baiser devient anarchique, nous peinons de plus en plus à contrôler nos mouvements, Hélène me tenant par le cou, je sens ses ongles qui commencent à s’enfoncer dans mes chairs. Rompant notre baiser, mes yeux se posent sur nos entrejambes, dans sa position, on a l’impression que je l’ouvre en deux à chaque fois que je l’investis.
— Mon chéri, comme je te sens bien, continue, je vais partiiiiiiir !
Malgré la lenteur de notre rapport, je ressens les prémices du plaisir poindre, nous ahanons de concert, les derniers mouvements sont complètement désordonnés. Les ultimes allers et retours se font de manière incontrôlée, Hélène me comprime de plus en plus fort, et boum, mon plaisir débarque, me foudroyant avec une intensité démesurée ! Ponctuant mon acte de gémissements rauques, je me répands bien au fond de sa matrice. Mon amour me suit dans la seconde, son corps se tétanise de plaisir, son vagin demeure contracté un long moment autour de mon bâton. Hélène lâche de profonds soupirs de plaisir. À bout de forces, je m’affaisse sur la femme qui fait battre mon cœur, seuls résonnent dans la chambre nos souffles courts.
À suivre...