1. Eronomicon (1)


    Datte: 27/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pygmalion, Source: Xstory

    — Estimés collègues, c’est avec joie que moi, professeur Astore, titulaire de la chaire d’anthropologie de l’académie des sciences impériale, que j’annonce un périple d’une durée de plusieurs années sur les terres nouvellement découvertes par nos explorateurs. Par son grand éloignement, ce continent, nommé « Akish ».
    
    Dans son auguste générosité, notre empereur a bien voulu autoriser et financer mon expédition, car il a bien compris l’importance pour la science de comprendre nos nouveaux voisins. Je ne pars donc pas seulement pour la seule curiosité qui m’anime moi ou mes confrères, mais aussi pour le bien de notre peuple souverain, puisse-t-il s’enrichir de la culture de ses semblables et ressentir l’exaltation de ne plus être seul en ce monde. »
    
    Extrait du discours du professeur Astore pour l’académie des sciences impériale.
    
    Observations de la tribu Dratori.
    
    Les dratoris peuplent le littoral de la côte sud-est d’Akish, là où les explorateurs ont débarqué pour la première fois. Il était donc normal que je commence par là mon périple. Les Dratoris sont un peuple de pêcheurs, ils vivent essentiellement de ce qu’ils peuvent retirer de la mer, mais cultivent aussi quelques terres et cueillent des fruits à la lisière de la jungle qui les entoure sans pour autant s’y aventurer bien loin. Ils vénèrent Atuna, déesse de la mer et de la fertilité ainsi qu’une personnification de la lune, qui passe pour être une divinité paternelle ayant fécondé l’océan au commencement du ...
    ... monde. Cela indique qu’ils ont compris assez tôt les cycles de marées et leurs connexions avec les différentes phases de la lune, ils ont d’ailleurs élaboré un calendrier précis basé sur ces dernières [...].
    
    L’une de leurs fêtes les plus surprenantes et les plus importantes se déroule la veille des grandes marées, il s’agit d’un rite de passage pour les nouveaux pêcheurs (dont le nom en langue draturi peut se traduire par « chasseurs de la grande mer »). Du lever au coucher du soleil, ils doivent jeûner et s’abstenir de toute activité physique tandis que plusieurs femmes de la tribu, choisies par le chaman du village, boivent tout le jour des philtres et décoctions diurétiques. Lorsque la nuit survient, on prépare une estrade circulaire entourée de torches sur lesquels les nouveaux pêcheurs vont recevoir les bénédictions d’Atuna. Au centre, le chaman, dont le visage porte une peinture blanche et circulaire rappelant la lune, viennent ensuite les aspirants pêcheurs, uniquement vêtus de la ceinture typique des hommes de la mer, qui s’agenouillent le long de la scène, la verge pendante. Enfin, les femmes apparaissent complètement dévêtues.
    
    Tandis que le chaman prononce les paroles sacrées, les hommes viennent se coucher devant les femmes qui écartent les cuisses au-dessus de leurs visages, dès qu’il termine, ces dernières commencent à se masturber frénétiquement. Pour débuter, la plupart d’entre elles commencent avec deux doigts, mais les plus aventureuses en mettent déjà ...
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