Partie fine dans les chiottes...
Datte: 26/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... lui ai happé la vulve comme si je voulais l’avaler. Elle a poussé un petit cri. Changeant de tactique, j’ai léché franchement le clitoris et les nymphes. Ma langue allait et venait avec agilité, lapant la mouille qui est resté devenu épaisse. Avec un cri aigu, elle a appuyé sur ma tête. Elle a donné de violents coups de reins en jouissant comme une folle. Avec voracité, j’ai collé ma bouche à l’ouverture du con, et j’ai pompé la mouille qui en suintait.
Sans prendre la peine de reprendre son souffle, elle m’a demandé de lui donner ma verge.
- Je croyais que tu étais pressé.
- Tu es sourd ! Donne-moi ta queue… a-t-elle répété, tout en
posant son pied en appui sur le bord de la tinette de chiotte. La verge à l’air, j’ai plié les jambes pour l’amener à bonne hauteur sur la cible désirer.
- Oui ! Oui ! Je la veux !
Elle s’est agrippé à mon cou et a enroulé ses jambes autour de mes reins. Ma verge a glissé comme une grande dans le sexe humide, qu’elle a maintenu grand ouvert de par sa position. J’ai sentis les parois tièdes engloutir ma verge, jusqu’au plus profond d‘elle-même. À en cogner son ventre contre le mien.
- C’est bon ! M’a-t-elle murmuré à l’oreille avant de me la mordre ...
... à sang.
Excité par tant de brutalité, j’ai empoigné les fesses et je me mis à la besogner à grand coups de riens. Haletante, elle a posé sa tête sur mon épaule, se laissant aller contre moi pendant que je la baisais fougueusement, à longs coups de reins. Malgré cela, je n’ai pas eu besoin de faire de gros efforts pour contrôler ma jouissance. Tant notre position inconfortable additionné à la crainte d’être surpris m’empêchait d’arrivé jusqu’à l’orgasme.
Ce qui n’était pas le cas pour ma partenaire qui elle a jouit en jetant avec force sa chatte à la rencontre de ma verge, tout en poussant des petits cris étouffés, les traits contractés.
Heureusement pour les muscles de mes jambes, dur comme du roc, au bout du deuxième orgasme, elle a finit par reposer ses pieds sur le sol. Elle m’a gratifié d’un clin d’œil polisson. Et avec un sourire, elle a essuyé la chatte avec du papier toilette, avant d‘enfiler sa culotte, alors que je reprenais mon souffle, avec l‘impression de cracher du feu. Après s’être assuré qu’il n’y avait aucun danger dehors, elle est sortie du réduit. Mais avant de refermer la porte elle m’a lancé :
- Moi, c’est comme ça que j’aime un homme ! Me fit-elle en disparaissant.