La Tour de Vénus (4) - Histoires de Sexe

La Tour de Vénus (4)

... de va-et-vient.

Les joues en feu et la tête renversée en arrière, Erika aggripa le chignon de Thea, et poussa un soupir proche du gémissement.

Surpris, les validateurs écarquillèrent les yeux. Excité, Mégalosex déclara :

— Je disais qu’on était tous des gros cochons et apparemment, je ne me suis pas trompé !

Amusés, ses collègues éclatèrent de rire. Ils désiraient se mélanger à eux et profiter de cette belle occasion de réaliser leur plus grand fantasme : frotter leur corps contre celui d’Erika.

Intimidée par leur regard brillant d’excitation, elle appréhendait la suite des événements. Aussi, elle décida de couper court à cette situation embarrassante.

— La réunion est terminée ! Merci à tous d’être venus.

Surpris, M.Xstory écarquilla les yeux. Puis, son regard croisa celui salace de la secrétaire.

— On fera un débriefing plus tard. Merci.

Déçus, les validateurs quittèrent la salle de conférences.

— Amusez-vous bien ! S’exclama Mégalosex.

Il ferma la porte derrière lui.

La secrétaire caressa la cuisse de son patron, remonta sa main jusqu’à sa verge, et la frôla lentement du bout des doigts et des ongles.

— Quelle douceur ! Gémit-elle.

Intrigué, il regarda sous la table et découvrit Thea en train de lécher la chatte d’Erika. Sa langue tournoyait autour du clito. Puis, sa bouche ventousée aux grandes lèvres, elle aspirait doucement pour recueillir le nectar qui s’écoulait du vagin.

— Eh bien, petite coquine, tu butines de partout ! ...

... Viens me montrer ça de plus près ! S’exclama le patron.

Il se leva. Thea sortit de sous la table et s’agenouilla à ses pieds. Elle embrassa le gland, tourna sa langue autour de la couronne. Elle frotta frénétiquement la pointe sur le frein. Les yeux plantés dans les siens, le patron soupira. D’un signe de la main, Thea invita Erika à participer au festin. La secrétaire s’agenouilla à côté d’elle. Elles s’embrassèrent en caressant le corps de l’autre, les seins et les fesses.

Excité, M.Xstory frotta son sexe sur leurs joues qui laissa des trainées de sève. Thea posa sa main sur celle du patron, guida le gland entre leur bouche. Les deux femmes s’embrassaient, leur langue caressait le gland baveux et sensible.

Le corps brûlant, le grand patron gémissait de plaisir et d’excitation, les mains posées sur la nuque de ses maîtresses. Sa hampe était léchée sur toute sa longueur, avant d’être aspirée profondément, mais en douceur dans une bouche ou dans l’autre. Les gourmandes alternaient la vitesse, la profondeur, et la pression de succion, le rendant fou de plaisir. Le cœur battant à cent à l’heure, des ondes électriques parcouraient son corps depuis la pointe de son gland. Abandonné à ses bouches bienfaitrices, il avait la sensation d’être avalé, l’esprit embrumé.

Thea retira sa robe, puis s’empressa de déboutonner le chemisier d’Erika, libérant ainsi ses seins ronds et fermes. Elle les malaxa doucement. Puis, elle les pris en coupe, embrassa les mamelons, et titilla les ...