La reine de Lautrec
Datte: 26/06/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
campagne,
jardin,
école,
voyage,
voiture,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
champagne,
yeuxbandés,
fouetfesse,
Humour
Auteur: Pierre Pesgraud, dit P2, Source: Revebebe
... quand elle se sent observée.
J’aime bien jouer ce rôle de « voyeur-donneur d’ordres » ; c’est une vraie satisfaction intérieure. Pendant qu’elle se caresse, j’en profite pour faire glisser mes mains le long de ses cuisses, de son ventre et de ses seins. Mais en aucun cas je ne m’approche de son « centre opérationnel de plaisir ». Alors que le délicieux travail suit son cours, j’entends une Mélanie quasi suppliante me demander :
— Tu m’embrasseras quand j’aurais joui ?
— Si tu as un bel orgasme : oui ; sinon on attendra ce soir.
— Tu es un monstre de me dire tout ça.
Si un tel spectacle prend toujours son temps pour bien démarrer, arrivé à mi-parcours cela devient un enchantement, et Mélanie n’échappe pas à la règle.
L’intensité émotionnelle monte d’un cran quand le bas de son ventre devient l’objet de petits tremblements annonciateurs. C’est ce moment que je choisis pour faire rouler la pointe de ses seins entre mes doigts.
Mélanie veut allonger ses jambes ; je l’en empêche pendant quelques instants, puis je lui rends sa liberté. Alors qu’elle s’occupait de son clitoris d’une main et que de l’autre elle caressait l’intérieur de ses cuisses, tout à coup ses deux mains sont devenues indispensables à sa montée du plaisir. Avec sa main droite, elle gère l’intensité des caresses qu’elle prodigue à son clitoris. Avec sa main gauche, elle caresse l’entrée immédiate de sa chatte, pour se pénétrer de suite après avec deux ou trois doigts, le plus profondément ...
... possible.
— Oh oui, ça vient, dit-elle en accélérant considérablement le mouvement.
Le regard de Mélanie se fait plus vague, ses yeux se ferment, puis se rouvrent peu de temps après. Visiblement son esprit est ailleurs. Puis le grand moment arrive, le feu d’artifice final, quand le corps se contracte, quand la respiration devient très saccadée, quand la chatte de Mélanie est en eau. Mélanie est bruyante, elle ne cherche pas à cacher la venue de son plaisir. Comme je l’avais remarqué hier, son orgasme est puissant, mais rapide. En quelques minutes Mélanie reprend ses esprits :
— J’aurais préféré que ça soit toi qui me caresses, me dit-elle.
Je ne lui réponds pas et me contente de lui sourire :
— Dis-moi si ça t’a plu, poursuit-elle.
C’est alors que je peux lui sortir la phrase que j’avais déjà préparée dans ma tête :
— Pour une première fois ce n’est pas mal, mais tu as encore des progrès à faire. Rome ne s’est pas faite en un jour.
— Alors tu veux bien m’embrasser maintenant ?
— C’est curieux, c’est exactement ce que j’allais te proposer. Mais auparavant lève-toi, je suis tout habillé.
Mélanie se lève ; je la trouve encore plus belle après cette séance. Je la prends dans mes bras. Je trouve très pervers d’être habillé, prêt à partir et de serrer un corps nu, un corps brûlant, un corps qui vient d’avoir du plaisir. En vivant cette scène, je pense un peu au tableau de Manet,Le déjeuner sur l’herbe qui avait choqué tant de bourgeois à l’époque.
Mélanie ...