1. La reine de Lautrec


    Datte: 26/06/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, campagne, jardin, école, voyage, voiture, amour, Masturbation Oral pénétratio, champagne, yeuxbandés, fouetfesse, Humour Auteur: Pierre Pesgraud, dit P2, Source: Revebebe

    ... contre moi et dormons ; il est minuit et demi, et demain je me lève tôt, à six heures et demie. Il faut que je sois à l’usine une heure plus tôt, avec tout le monde.
    
    Je dors sur le côté. Que c’est agréable avant de s’endormir de sentir le corps brûlant de cette fille dans son dos : sa peau, ses seins, son ventre, ses cuisses, le tout en contact complet avec soi.
    
    Mon téléphone sonne à six heures et demie très précises. N’ayant pas une minute de sécurité, je bondis sous la douche pour me réveiller. Le chien me regarde passer mais ne bouge pas, sa maîtresse étant restée au lit.
    
    Une fois rasé et propre comme un sous-neuf, je me dirige vers Mélanie avant de m’habiller. Elle est superbe, mais pas très fraîche :
    
    — J’ai encore très sommeil, me dit-elle en balbutiant ; j’aimerais bien dormir encore une heure ou deux.
    — Tu as du café, ici ?
    — Oui, seulement du Nescafé dans le placard.
    — Ne t’inquiète pas, je vais me débrouiller.
    — Prends une petite casserole pour faire chauffer ton eau.
    
    Je m’approche de Mélanie et lui dépose un gros bisou sur ses seins. Elle est visiblement « hors service ». Ses yeux ont du mal à rester ouverts. Elle se retourne, s’enroule dans les draps et se rendort. Quand on est jeune, c’est fatiguant de trop s’envoyer en l’air, surtout après avoir fait comme hier soir, son exercice de« one shot ».
    
    Une fois mon bol de café bu, je quitte discrètement la chambre et reprends ma voiture. Les parents de Mélanie ne sont pas encore dans leur cuisine, ...
    ... sinon j’aurais été les saluer. C’est vrai qu’il n’est que sept heures dix.
    
    La route n’est pas encombrée. J’arrive à sept heures et demie à l’usine de Castres, ce qui est l’heure habituelle de l’ensemble du personnel. Je constate qu’à cette heure-là, l’usine commence tout juste son activité.
    
    Je me dirige vers le bureau du patron. Comme hier, je le salue et lui fais un rapide état des lieux. À quelques détails mineurs près, tout est en conformité, et sur le plan global de la qualité son usine est bien tenue. Il est ravi que je me sois mis aux mêmes horaires que tout le monde.
    
    — J’apprécie beaucoup que vous vous soyez mis aux horaires de l’établissement, c’est plus facile pour tout le monde.
    — C’est la moindre des choses.
    — Ma femme m’a dit hier soir qu’elle comptait vous emmener visiter le musée Jean-Jaurès en fin de journée.
    — Oui, c’est ce qu’elle m’a gentiment proposé hier après le déjeuner.
    — Eh bien vous pourrez y aller vers cinq heures moins le quart, me conseille-t-il, cela vous libérera plus tôt.
    — Très bien.
    — Malheureusement, à midi je suis encore« full up » pour le travail. Donc une fois de plus, je ne pourrai pas venir manger avec vous… et comme d’habitude, c’est ma femme qui s’en chargera.
    
    Dans ma tête, je souris. À mon humble avis, non seulement le patron a une maîtresse, mais en plus il profite de ma présence pour passer un bon moment à midi avec elle. Il a quartier libre et est certain de ne pas être dérangé par son épouse… puisqu’elle est avec ...