De chaudes études - 2 - Histoires de Sexe

De chaudes études - 2

... laissé en plan hier, je fais comprendre à Myriam que je dois parler à Drake et que je la rejoindrai plus tard. Comprenant tout – et, vu son sourire, probablement encore plus –, elle part devant, me laissant seule avec mon partenaire d’exposé et de sexe dans l’amphi qui se vide.

— Je suis désolée, Drake, j’aurais pas dû partir comme ça. En plus, on a même pas avancé…
— T’avais promis de m’aider. J’ai dû commencer tout seul.
— Excuse-moi… je vais jeter un œil à ce que tu as fait et je corrigerai, je te le promets, d’accord ?
— Non, plus de promesses, geint-il. Marre des promesses.

Moi, c’est de ton vocabulaire limité et de tes jérémiades dont j’ai marre… non ! Chut, Jenny, c’est toi qui as pas été cool avec lui. Et tu dois lui présenter tes plus plates excuses, ma fille.

— Viens, lui dis-je en lui prenant la main, mon plus beau sourire aux lèvres. Je vais te montrer que cette fois je ne te laisserai pas tomber.

Docilement, et ne comprenant visiblement pas grand-chose, il me suit dans le couloir bondé, jusque dans un petit réduit où je nous enferme.

— Qu’est-ce que… commence-t-il avant que je lui pose un doigt sur les lèvres.
— Chuuut… que je lui susurre à l’oreille, laisse-toi faire. Laisse-moi me faire pardonner, dis-je avant de poser mes lèvres sur les siennes.

Il ne lui en faut pas plus pour qu’il me rende mon baiser, m’étreignant de ses bras puissants pour m’amener contre lui. Je passe mes mains sous son t-shirt, sur ses larges épaules, sur ses ...

... pectoraux musclés, ses abdominaux saillants… ce mec n’est définitivement pas une flèche, mais quel bel homme ! Lui aussi commence à avoir les mains vagabondes, m’empoignant les fesses pour les pétrir, les écarter, les malaxer à travers mon jean, et je commence à regretter de ne pas avoir suivi la règle numéro un ce matin. Mais de toute façon, j’ai déjà prévu de quelle façon je vais m’occuper de lui, et mes fesses n’entrent pas en jeu ici.

Lentement, je détache mes lèvres des siennes, descendant lentement sur le menton carré puis la pomme d’Adam saillante, je ne résiste pas à la tentation de lécher un de ses pectoraux si virils, de prendre un de ses tétons dans ma bouche avant de poursuivre ma descente vers sa boucle de ceinture. Je la défais rapidement, pour faire descendre sur ses chevilles son pantalon et son caleçon, et libérer le membre viril et puissant qui attendait mon arrivée. Son érection n’est pas encore complète, alors je me charge, avec ma langue, de faire durcir cette queue qui m’a déjà donné tant de joie. J’en gobe le gland et je le suçote à petits coups réguliers, ce qui achève de le remplir de sang. En termes de fellations, mon expérience remonte elle aussi à trois semaines ; et je n’en ai fait que six ou sept, sur des compagnons d’un soir que ramenait Helen. Mais j’ai eu en elle un excellent professeur, aux dires de ces messieurs. Je continue à lui aspirer le bout, et je dois maintenant me redresser sur mes genoux tant elle s’est dressée. Que j’aime sentir la ...